Je me nomme Marie et j’ai maintenant 21 ans. Je suis actuellement etudiante en droit à Alençon et pour payer mes études je travaille en tant que standardiste dans une boite de pub. Je dois avouer que pour obtenir ce poste j’ai du mettre en avant toutes mes compétences. J’ai passé mon entretien d’embauche avec une femme. En me présentant j’ai eu peur que ma tenue provocante puisse lui déplaire.

En effet, je pensais passer cet entretien avec un homme et pour mettre toutes les chances de mon coté, j’avais enfilé une jupe noire fendue qui s’arrêtait à mi-cuisses et laissait apparaître mon porte-jarretelles. Je portais également des bas noirs qui mettaient en valeur mes longues jambes. Comme à mon habitude, je n’avais pas de culotte. Une chemisette blanche laissait transparaître mon soutien-gorge en dentelle rouge. J’étais suffisamment maquillée pour mettre en avant ma bouche pulpeuse et mes yeux bleus. Mes cheveux noirs étaient tirés en arrière.

Quand je vis qu’une femme me ferait passer l’entretien d’embauche je me sentis déçue et très mal à l’aise. Qu’allait-elle bien pouvoir dire :

- Vous vous croyez dans un bordel pour venir ainsi accoutrée à un entretien pour ce poste ?

Ou peut-être encore :

- Ce n’est pas un casting pour un film pornographique !

J’étais gênée et, lorsqu’elle m’appela, je ressentis une terrible nervosité en entrant dans son bureau.

Je remarquais immédiatement que son chemisier était mal boutonné. L’entretien commença de manière banale. Elle me questionna sur mon cursus et mes expériences précédentes. Durant tout ce temps, je ne pouvais m’empêcher de regarder sa poitrine qui avait l’air d’être énorme sous sa chemise en soie. J’avais beau détourner mon regard de peur qu’elle ne le remarque, j’étais comme hypnotisée par cette femme. Le pire c’est que je n’avais jamais ressenti d’attirance pour les femmes jusqu’alors.

Au bout d’un petit moment, alors que mon regard était figé sur ses mamelons, elle me ramena sur terre en me demandant ce que je regardais avec autant d’insistance. Mon souffle était coupé et je ne savais plus que dire. Je la regardais et restais sans voix. C’est alors qu’elle se leva de son fauteuil et qu’elle s’approcha de moi d’un pas lent et félin. J’avais l’impression d’être totalement enfoncée dans mon siège lorsqu’elle arriva prés de moi.

Elle releva ma tête en me tenant le menton et me demanda si c’était ses seins que je regardais. Je ne savais plus ou me mettre. J’essayais de ne pas rougir mais il était trop difficile de masquer ma gêne et cela semblait l’amuser. Elle avait un petit sourire pervers au coin des lèvres. J’étais totalement pétrifiée. Je n’arrivais même plus à penser. C’est à cet instant qu’elle a approché son visage du mien et qu’elle commença à m’embrasser délicatement. Je me laissais faire. Cela me paraissait si étrange mais en même temps ça provoquais en moi un sentiment de plaisir si nouveau que je sentais déjà
mon vagin s’humidifier au seul contact de nos lèvres. Elle était maintenant assise a califourchon sur moi et notre baiser délicat était devenu sauvage, elle avait glissé sa main sous ma chemise et pétrissait vigoureusement mes petits seins ronds, qu’elle avait sortis de mon soutien-gorge, passant de l’un a l’autre en me pinçant les tétons, tendus sous les caresses de ses doigts agiles. Elle se redressa vivement et ouvrit sa chemise, laissant apparaître sa forte poitrine sans soutien-gorge.

Ses nichons étaient énormes. Instinctivement, je me jetais dessus, les léchant, mordillant les tétons énormes. Cela semblait l’exciter au plus haut point et me mettait moi aussi dans un état indescriptible.

Nous nous levâmes pour mieux pouvoir nous déshabiller. Je déboutonnais son pantalon, qui moulait jusque là magnifiquement une paire de fesses larges, rondes et fermes à la fois. Je baissais le vêtement pour me rendre compte qu’elle ne portait pas de culotte et que sa chatte était totalement rasée.

Elle s’empressa de retirer ma chemise et ma jupe tout en m’embrassant. Nous étions maintenant au sol et nous nous aspirions la langue et les lèvres tous en nous caressant mutuellement. Sa main descendit pour venir caresser mon intimité. Son majeur décrivait de petits cercles autour de mon clito. Je gémissais en me mordillant les lèvres. Elle continuait, accélérant toujours plus le mouvement circulaire de son doigt sur mon petit bouton bandé. Je n’en pouvais plus. C’était si agréable !

Elle m’embrassait encore les seins en les mordillant par intermittence. Puis, elle commença a descendre de mon torse vers le ventre, me léchant le nombril pour arriver enfin à mon minou liquéfié. Sa langue se baladait sur mon clitoris, mes grandes et petites lèvres. C’était très bon. Elle me suçait le clitoris qui bandait sous les assauts vicieux de sa langue. Ma cyprine coulait et il m’était de plus en plus difficile de contenir mon plaisir. Je lâchais un petit cri avant de me reprendre de peur que quelqu’un m’entende. Elle leva la tête, me gratifia d’un léger sourire puis retourna me titiller l’entrejambe, pénétrant de sa langue dans mon vagin tout en me glissant délicatement deux doigts le cul.

C’était incroyable ! Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir et il ne fallut pas longtemps pour que j’atteigne un orgasme indescriptible. Je lui avouais que je n’avais jamais eu autant de plaisir et que je voulais lui renvoyer l’ascenseur. Tout en souriant, elle se leva, se dirigea vers son bureau et demanda à sa secrétaire de prévenir les candidates suivantes que le recrutement était fini. Elle lui précisa qu’elle ne devait plus être dérangée sous aucun prétexte.

Nous avons passé le reste de la journée dans son bureau et j’ai eu le temps de lu rendre la monnaie de sa pièce, malgré mon inexpérience. Depuis, je suis son assistante personnelle. Nous vivons ensemble et nous avons fait passer quelques entretiens assez mémorables à des prétendantes pas toujours très chaudes au départ.

Vous avez un talent pour écrire des histoires coquines et vous souhaitez les partager avec le plus grand nombre? Envoyez-les moi et je les publierai avec plaisir!

Anniversaires des Stars du X