Nina Roberts dans la panade. L'éditeur de ses deux premiers livres, Bertil Scali, a déposé le bilan. L’ex-actrice doit repenser sa reconversion.

L’après carrière d’une actrice pornographique est toujours chose délicate. Nina Roberts en fait les frais. Alors que la soirée du 20 septembre « Porn Anarchy » était en partie consacrée à son travail de photographe, la brune a décidé de délaisser quelque peu l’objectif argentique. « Les photos resteront, à titre personnel, juste un amusement ». Un malheur n’arrivant jamais seul, la maison d’édition de ses deux ouvrages, Bertil Scali, vient de fondre les plombs.

Une nouvelle qui tombe très mal, d’autant que l’éditeur avait pris soin de ne pas payer les royalties de Nina durant presque un an. 
« Quatre ans après avoir arrêté le X, je continue à me faire enculer » a déclaré Roberts, avec sa verve coutumière. Jamais à court de ressources, l’ex-actrice à désormais décidé de se concentrer sur l’adaptation sur grand écran de « Grosse Vache », la demoiselle ayant précieusement gardé les droits pour le cinéma.