Nathalie baisse le haut de sa robe en faisant attention de la laisser coincée au niveau de sa taille. Elle s’assied sur la table d’examen. Le toubib remarque qu’elle ne porte pas de
soutien-gorge. :
- Vous ne mettez pas de soutien-gorge ? Il est vrai que vos seins n’en ont pas vraiment besoin et au moins ils peuvent respirer.
Après avoir écouté son cœur et prit sa tension, il lui demande d’enlever complètement sa robe pour ausculter son ventre. Très gênée, Nathalie hésite mais je lui fais comprendre du regard qu’elle
doit s’exécuter et, obéissante, elle fait disparaître le dernier rempart avant sa totale nudité. Le Marseillais est en train de régler les étriers de la table pour qu’elle puisse y mettre
ses pieds. Quand il relève la tête, il s’aperçoit que Nathalie est déjà toute nue.
Etonné, il lui fait :
- Mais vous êtes humide et même bien mouillée.
- Oh, oh oui, baisez-moi ! S’il vous plaît, il faut me tirer !
Le médecin ne se fait pas prier. Il sort son phallus. Il se faufile dans sa raie et lui dilate le trou du cul avec son gros gland humide de mouille.
Pendant tout le temps où il la sodomise, Nathalie continue tant bien que mal à me lécher le clitoris. Malgré les coups de boutoir qui lui laminent le ventre et les mouvements involontaires de son
corps sous la poussée, elle y parvient remarquablement bien. Je suis prête à jouir quand elle a son troisième orgasme. Mais c’est la jouissance du docteur qui entraîne finalement la mienne.
Je suis trop heureuse de voir cet homme se vider les couilles dans le fondement accueillant de cette belle brune.
- Vous avez vite retiré votre culotte.