Au début, j’ai trouvé ça si bien que j’ai recommencé toute la semaine, mais à chaque fois dans ma chambre. Jusqu’au jour où l’envie m’en a pris alors que j’étais à la fac. Cette fois-ci, j’ai été
obligée de me rendre aux toilettes pour m’enfiler les doigts dans la moule. Je me suis fait jouir pendant la pause entre deux cours. J’ai eu du mal à revenir jusqu’à l’amphi après car mes jambes
ne me portaient presque plus, tant mon plaisir avait été violent. J’avais trouvé si troublant le fait de me masturber en prenant le risque d’être découverte que mon orgasme a été extrêmement
intense.
Quand je suis rentrée chez moi, j’ai remis ça sans attendre la nuit, couchée sur mon lit, dans ma
chambre. Je me suis interrompue après avoir joui à nouveau, juste au moment où ma mère m’appelait pour passer à table. J’étais si retournée que j’en ai oublié de faire un détour par le lavabo
pour me laver les mains. Pendant tout le dîner, j’ai senti l’odeur de ma mouille à chaque fois que je portais mes couverts à ma bouche.
Parfois, je me branle dans des endroits encore plus incongrus que les toilettes de la fac. Je me souviens d’un jour où j’avais croisé un beau mec dans un ascenseur. Bien sûr, il n’avait pas eu un
regard pour moi. Pourtant, il dégageait une telle sensualité que je me suis sentie fondre en l’observant. Quand il est sorti, je mourais d’envie de jouir. J’ai bloqué l’ascenseur un petit moment
et je me suis touchée dans la cabine. En me caressant, je me suis laissée glisser au sol. J’avais relevé ma jupe le plus haut possible sur mes cuisses et j’étais sur les genoux. Mes fesses
reposaient sur mes talons et j’appuyais mon dos et ma tête contre la paroi de la cabine. Je me suis enfilée les doigts dans le slip le plus rapidement possible, trop chaude pour pouvoir
différer mes attouchements. J’ai senti la mouille qui inondait ma petite touffe de poils, facilitant le passage de mes phalanges entre mes grandes lèvres. J’ai tout de suite mis deux doigts dans
mon trou.
Il me fallait bien ça ! Mon minou était étonnamment souple et accueillant. Mes
doigts ont coulissé plusieurs minutes dans mon vagin tandis que je faisais rouler mon petit bouton entre le pouce et l’index de mon autre main. J’ai joui dans l’ascenseur comme une folle. Sur le
moment, j’ai bien cru que j’allais m’évanouir. Vous imaginez si quelqu’un m’avait retrouvée, inanimée et pantelante sur le sol, les doigts encore fourrés dans ma chatte dégoulinante de mouille ?
En fait je crois bien que cette perspective honteuse a grandement contribué à la puissance de ma jouissance ce jour-là.