Arnaud m’a fait couler un bain, puis il est venu dans ma chambre. Il a éteint la télé et mit de la musique douce en me faisant signe de ne pas bouger. Il s’est approché de moi et m’a embrassé sur les lèvres, avec tellement de douceur et de tendresse que j’ai fondue de suite. Il m’a doucement et tendrement déshabillée. Ses mains chaudes et fermes, se sont faites douceur sur ma peau. Une fois nue, le beau normand m’a portée jusqu’au bain. Il m’a savonnée des pieds à la tête et de la tête au pied, comme quand j’étais toute petite. Mais cela nous faisait un tout autre effet. J’avais une sensation de délicieuse chaleur dans le bas ventre et lui s’est mis à bander comme un fou. Il s’est déshabillé lui aussi et s’est glissé dans mon bain.



C’est pour pouvoir mieux te laver Cathy, et je t’avoue que me laver ne me ferait pas de tort non plus…
- Je m’en occupe alors !

Frotter ses muscles, le savonner de haut en bas, devant et derrière fut un vrai régal. D’autant qu’il ne restait pas inactif non plus. Nous nous embrassions souvent, nos mains exploraient nos corps sous toutes les coutures. J’étais déjà prête à le recevoir, mais il avait d’autres projets
en tête.

Il a finit par sortir du bain. Il m’a à nouveau porté et m’a conduite à mon lit. Il m’a allongée sur le ventre et m’a fait un massage tendre et érotique. La nuque, le dos, les pieds, les jambes, les fesses. Puis il m’a retournée et à recommencé à me masser : le visage, les mains, les cuisses et les seins. Puis il s’est remis à m’embrasser. Avec tendresse et douceur. Mes mains se sont mises à explorer à nouveau son corps si tendre, si doux et à la fois si fort et rassurant.

Il a tout à coup eu envie de me goûter, et a senti que j’avais la même envie. Il s’est déplacé pour que nous soyons dans la position du 69, de manière à ce que nous puissions goûter nos sexes. Ma langue s’est mise à lécher son
membre dressé. Ses lèvres douces embrassaient les lèvres de mon sexe, puis sa langue experte me rendait folle. Sentir sa douce moiteur rencontrer mon humidité torride, sensation exquise. Puis il a trouvé mon clitoris et s’y est attardé quelques minutes, tout en douceur. Je me demandais combien de temps je tiendrais encore avant de le forcer à me dépuceler. Il a fini
par sentir mon impatience, s’est retourné et m’a regardé longuement dans les yeux pendant que sa main gauche pétrissait tendrement mes seins et que sa main droite fouillait mon intérieur, mon vagin.

Puis il bougea doucement, et s’allongea sur moi. Lorsque son sexe pénétra le mien, je crus défaillir de bonheur. Il m’avait préparé avec tant de patience, de douceur et de savoir-faire que j’étais parfaitement prête à l’accueillir. Je n’ai presque pas senti qu’il forçait le passage. Mais j’ai parfaitement senti sa verge dressée et gonflée aller et venir en moi. Ses mains pétrissaient ma chair de manière ferme et douce. Son sexe bandé allait et venait. Je ne savais plus qui j’étais ni où je me trouvais. Il se retira et se remit à boire le liquide qui sortait de mon sexe.