- Tu as un vagin ma douce, ma Cathy, si beau, si rose, si doux et tu as un goût divin !
- Arnaud, prends-moi encore et fais moi jouir. Ne traîne plus trop, je sens que je vais bientôt ne plus pouvoir me retenir. Viens, prends-moi, je t’en prie, viens…
Je n’avais plus de souffle et je ne sais pas s’il a vraiment entendu tout ce que je lui ai dit. Mais il a remit son sexe gonflé à bloc dans mon vagin prêt à jouir. Quelques va-et-vient ont suffit à faire monter nos désirs à un niveau que je ne pensais pas qu’on puisse atteindre. Lui non plus n’avait plus l’air de se maîtriser.
- Cathy ô mon ange, je t’aime !
- Arnaud, je t’aime aussi !
C’est sur ces mots que nous nous sommes libérés. J’ai senti les spasmes de son sexe comblé en même temps que je sentais les spasmes de mon vagin tout aussi rempli. Puis nous sommes restés là,
enchâssés l’un dans l’autre sans bouger. Plusieurs minutes. Puis il s’est retiré, s’est allongé à côté de moi, m’a donné quelques petits baisers, et nous nous sommes endormis, nos bras et nos
jambes mêlés.
Quand je me suis éveillée, il me regardait tendrement. Il allait parler quand je me suis approchée de lui et que je l’ai embrassé.
- Cathy, tout ce que je t’ai dit aujourd’hui est vrai: Je t’aime ! Mais… Non ne dis rien, laisse moi finir… Mais tu es encore trop jeune pour ne te contenter que de moi. Profite des quelques années qui viennent, rencontre des garçons, des filles, des couples, des tas de gens et fais leur l’amour, tombe amoureuse souvent mais jamais sérieusement et dans quelques années, si tu tiens encore à moi, je t’épouserai.
Avant que je n’ai pu dire quoi que ce soit, il s’est remis à m’embrasser. Son sexe était à nouveau gonflé de désir, mais il a finit par quitter ma chambre sans que nous fassions l’amour à nouveau.