Subitement, il pencha la tête vers mon con et passa ses mains sous mes fesses, pour me surélever un peu. Il voulait boire à ma source. Ses lèvres se collèrent comme une ventouse sur ma chatte qui
n’en pouvait plus de languir. Je sentais mon jus qui s’écoulait en flots incessants et mon clitoris qui peinait à demeurer caché sous son capuchon tant il bandait. Sans m’en rendre compte, je
levai légèrement mon dos du lit, me cambrant pour lui offrir ma motte à déguster. Je ne pus résister à l’envie de le stimuler verbalement, même s’il n’en avait pas besoin pour se montrer
entreprenant.
-
Oh oui, papy cochon, mets ta langue dessus, viens boire mon sirop, lape-moi la fentine ! Oh, j’aime ta grosse langue râpeuse et humide sur ma chatoune, vas-y, vas-y, lèche le trou de ta
Cathy maintenant !
Il ne se le fit pas dire deux fois. Son gros organe agile s’est mis aussitôt à aller et venir tout au long de mon sillon d’amour, m’écartant les lèvres au passage. Il ne força pas tout de suite, préférant savourer mon nectar un moment. Mais bientôt, il ne fut plus capable de se retenir et commença à me laper la moule comme un vieux chien un peu vicieux lécherait le cul de sa chienne. Il partait de tout en bas de ma fente, juste au-dessus du périnée, et remontait prestement tout en haut, là où mon bourgeon crevait d’envie de le sentir. Il m’électrisait le clito à chaque passage, s’attardant un trop court instant sur mon petit gland tendu.
Après quelques minutes de ce traitement démoniaque, il enleva l’une de ses mains de sous mes fesses. Il posa un gros doigt ridé sur mon trou et appuya pour le faire entrer en moi. Je poussai du bassin pour venir m’empaler dessus. L’index buta illico au fond de ma grotte, m’arrachant un petit cri de plaisir et de surprise. Son autre main était solidement crochetée dans la raie de mon cul, une fesse reposant sur la paume, les doigts plantés au fond de la fosse. Quand je gigotais sur le lit, je sentais des phalanges qui me travaillaient l’anus involontairement. Cela m’obligeait à m’agiter toujours plus sur le pieu. J’avais vraiment le feu au cul. Francis était doué pour le sexe et j’étais heureuse d’avoir su dénicher un vieux bonhomme au Mans qui soit en même temps un aussi bon coup.
C’est à cet instant qu’il reprit la parole. Il ne s’adressait pas à moi :
- Ca y est Emile, tu peux entrer, je crois que la petite Cathy est chaude ! On va bien s’amuser, tu vas voir, c’est une vraie salope.
bravo vidéos superbement bandantes...et idem pour les textes !!
tu es une bien adorable et excitante coquine, qui m' a mis dans un bel état..
biz
jp de bourges..