Je me suis exécutée sans poser de questions. Je savais qu’il était très porté sur le sexe et je ne me faisais pas de soucis quant à ses intentions. J’étais déjà certaine qu’il me ferait beaucoup
jouir. Je voulais quand même veiller à l’allumer au maximum. Alors j’ai fait lentement les quelques pas qui me séparaient du pieu, un grand lit double recouvert d’un couvre-lit matelassé un peu
vieillot lui aussi. J’ai volontairement gardé mes chaussures à talons et mes mi-bas. Mes jambes devaient être magnifiques ainsi parées. J’ai posé mes fesses tout au bord du matelas, comme il me
l’avait demandé. Vicieuse jusqu’au bout, j’ai relevé ma jupe sur mes cuisses autant que je pouvais, sans pour autant dévoiler totalement la cicatrice rose de mon sexe glabre. Très cochonne, j’ai
pris mon pouce et je l’ai mis en bouche pour le sucer. Si avec ça Francis ne craquait pas complètement…
Il s’est approché de moi d’un pas décidé. Ensuite, il s’est agenouillé entre mes jambes, comme pour observer ma chatte de plus près. C’est d’ailleurs ce qu’il a fait. Il l’a inspectée d’abord des
yeux, puis du bout d’un doigt. Je me suis relevée sur les coudes pour le regarder faire. Il était plus attentionné que d’habitude. Il faisait glisser l’extrémité de son index sur la fente de mon
minou. Je le vis goûter mon jus en portant son doigt à sa bouche. Il le lécha avec sa langue. Une lueur de plaisir passa dans ses yeux. Il devait être très troublé par le spectacle de
cette fille un peu nunuche qui s’offrait à lui en toute indécence. Après tout, il n’avait fait que m’entrevoir dans la pénombre des toilettes de la discothèque du vieux
Mans qui accueillait jusque là nos ébats et là, il pouvait se rincer l’œil tout à loisir.