J’interrompis son manège, haletante, en lui demandant de me fourrer son chibre dans le sexe. Comme pour mieux lui faire comprendre ce que j’attendais de lui, j’ai mis sa verge le plus à l’horizontale possible sans le blesser et je l’ai tirée vers mon entrejambe. Il a fait un ou deux pas pour se placer derrière moi. Je voulais qu’il me baise par derrière, comme un chien. C’était la position qui m’excitait le plus. Dès qu’il fut bien placé dans mon dos, je me penchai en avant en m’appuyant sur l’arbre que nous commencions à bien connaître tous les deux. Je cambrai mes reins et j’écartai les pieds au maximum pour bien lui présenter mon sillon. Il faisait malheureusement trop sombre pour qu’il puisse admirer le spectacle affriolant de mon abricot fendu dans toute sa splendeur. Parfois je m’amusais à me regarder dans la glace dans cette position, un doigt ou un gode fourré dans le trou et je dois avouer que je me trouvais très attirante.

 

Richard me fit attendre quelques secondes avant de se résoudre à m’enfiler son braquemart dans la grotte. Le vieux salaud le faisait exprès, j’en étais sûre. Il voulait me faire languir pour que je réclame encore moi-même d’être prise. Je lui fis ce plaisir en tortillant mon cul avec une totale indécence. Je tournai la tête et lui dis simplement : ” Viens me mettre maintenant, viens me fourrer la chatte ! ” Il se fit encore désirer un petit moment, frottant le bout de sa queue entre mes fesses. Un instant, je me suis demandée s’il n’allait pas me sodomiser. Un mélange d’appréhension et de désir se développa dans mon esprit. Puis il abaissa son membre entre mes cuisses et en dirigea le gland vers les lèvres légèrement pendantes de mon sexe. Celles-ci s’écartèrent d’un coup et avalèrent le gros nœud comme une gourmandise.

Il commença tout de suite à me pistonner. Lui aussi devait être au summum de son désir. Je remuais du croupion pour bien le sentir partout dans ma chatte. Il colla son pubis contre mes fesses et se pencha sur mon dos pour attraper mes nichons. Il les caressa d’abord à travers mon pull mais, se rendant compte que je ne portais rien en dessous, il passa ses mains sous le vêtement et me prit les tétines directement entre ses doigts.

J’étais comblé par son formidable engin qui, bien qu’un peu court, était suffisamment épais pour me remplir complètement le vagin. Il coulissait admirablement entre mes lèvres sensibles. Richard soufflait dans mon cou. Il paraissait trouver beaucoup de plaisir à me pistonner de la sorte. Bientôt, il est devenu difficile à mes jambes de me supporter. L’homme était lourd sur moi. J’ai plié les genoux et je me suis mollement laissée glisser au sol. J’étais maintenant à quatre pattes sur le tapis de feuilles mortes. Mon corps ballotté d’avant en arrière au rythme de la pénétration de Richard qui avait de plus en plus de mal à retenir son plaisir. Quand mon vieil amant entreprit de me frotter le clitoris en passant son bras sous mon ventre, j’ai réussi à tenir quelques minutes mais bien vite une vague venue du plus profond de mon être est montée en moi jusqu’à emporter les toutes dernières digues qui m’empêchaient encore de jouir. Je n’ai pas pu retenir un cri de bonheur lorsque Richard s’est finalement vidé en moi en m'aspergeant de son sperme chaud.