Enfin, au bout de quatre jours, mon chemin a croisé à nouveau celui de Richard. Je suis allée discuter franchement avec lui. Il n’avait pas l’air gêné de me revoir. Je lui ai avoué combien je
ressentais le désir de me faire mettre par son gros morceau, l’envie de le sentir logé bien au fond de mon ventre de jeune salope. Je lui ai même confié que je m’étais touchée tous les soirs en y
pensant, en m’imaginant remplie par son zob de vieux cochon. En lui parlant comme ça, j’étais certaine de ne pas le laisser insensible. Qui aurait pu résister à des confidences si crues de la
part d’une petite vicieuse si désirable ? Certainement pas lui, si j’en jugeais par l’état dans lequel il se trouvait à la fin de mon long monologue salace. Pour m’en assurer, j’ai tendu la main
vers son entrejambe et j’ai mesuré la raideur de sa queue avec mes doigts. Comme je m’y attendais, il était déjà bien gros et fort. Je l’ai massé immédiatement, sans craindre de choquer les rares
personnes qui hantaient encore le jardin public. Il faisait très sombre dans notre coin et personne n’aurait pu décemment imaginer qu’il y avait dans les allées une jeune salope en train de
branler un vieux bonhomme. C’était pourtant bien ce qui se passait, presque sous les yeux des passants. J’étais collée contre Richard et je lui touchais la bite, mes doigts couraient tout au long
de son manche que je sentais dressé dans son pantalon.
Il me repoussa un instant, pour me faire comprendre qu’il lui en fallait plus. Ca tombait bien car c’était exactement ce que je voulais moi aussi. Nous ne pouvions tout de même pas baiser sur un
banc public, au vu et au su de tous. Pourtant, j’étais presque assez chaude pour prendre ce risque insensé. Richard m’entraîna vers le buisson qui nous avait déjà accueillis au début de la
semaine. Là, il se mit à appuyer sur ma motte avec la paume de sa main, en la faisant rouler. Ca me faisait un drôle d’effet, j’avais chaud dans le ventre. Nous étions debout côte à côte et nous
nous caressions mutuellement. J’ai sorti sa bite de la gangue d’étoffe qui la comprimait. Elle était encore plus vigoureuse et forte que dans mes souvenirs les plus fous. J’ai fait aller mes
doigts dessus un petit moment, histoire de conforter sa raideur.
La main de Richard avait trouvé le chemin de ma chatte. J’avais délibérément enfilé une jupe courte pour sortir de chez moi ce soir-là. Je ne portais rien en dessous, pas la moindre petite culotte. Pareillement, j’étais nue sous mon chandail. Mes tétons qui se raidissaient sous l’effet des caresses de Richard frottaient leur pointe sur la laine un peu rêche de mon vêtement. J’avais le souffle court mais ce n’était rien comparé au moment où mon papy pervers enfila enfin sa main sous ma jupe. Il se rendit tout de suite compte que j’étais à poil en touchant mes fesses. Il me caressa un instant les globes jumeaux du cul, savourant la douceur de ma peau de jeune gamine perverse. Le tranchant de sa main se glissa dans ma raie et s’avança jusqu’à l’orée de ma vulve. Il ne pouvait plus ignorer combien j’étais excitée car j’étais toute trempée. Il fit aller et venir deux ou trois fois le bord de sa main tout au long de ma fente huileuse. Il m’écarta même un peu la raie du cul en remontant.
Pendant tout ce temps, je le branlais activement. Il devenait toujours plus costaud dans ma main. Il mouillait du bout de la bite. Je commençais à avoir les doigts humides de son lubrifiant naturel. Il était plus que temps d’entrer dans le vif du sujet. Pourtant, il ne semblait pas pressé de me prendre. Je crois qu’il trouvait excitant de me tripoter la moule pendant que je le masturbais. Il fit entrer deux doigts dans ma chatte, comme pour en jauger la souplesse, puis il les retira et les porta à ma bouche pour que je goûte à ma propre mouille. Ce n’était pas la première fois que je m’essayais à cette expérience mais je trouvai celle-ci particulièrement troublante ce jour-là. Je léchai longuement ses gros doigts de cochon. Il leur fit faire le même chemin encore deux fois, les replongeant alternativement dans mon vagin et dans ma bouche gourmande.