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Il tentait de faire retomber l’excitation en pensant à autre chose qu’aux doigts de la jeune fille qui lui branlait si agréablement la bite. Ce n’était pas chose facile car l’efficacité de ses gestes était redoutable et les caresses qu’elle lui prodiguait n’avaient rien de commun avec les manipulations parfois un peu maladroites de sa femme. Heureusement, il bénéficia d’un moment de répit quand sa masturbatrice s’interrompit pour le faire asseoir sur le bloc de granit qui se trouvait là.
- Viens-là, assieds-toi ! Je vais te sucer. Ecarte bien les jambes pour me faire de la place. Tu vas voir, je suis une bonne pipeuse. On me félicite souvent pour mon adresse et ma douceur. Je
vais te vidanger les couilles avec ma bouche. Ensuite, tu t’occuperas de moi car je veux aussi jouir. Regarde, je mouille bien mes lèvres de gourmande avec la langue pour qu’elles glissent bien
sur ta bite ! Maintenant que je t’ai préparé avec ma main tu es suffisamment gros pour bien me remplir la gueule. J’aime les grosses bites bien dures, j’aime les sucer comme de grosses sucettes.
Quelque chose me dit que je vais me régaler avec la tienne. Voila, tu es en place ! Laisse-moi faire maintenant ! Ta Malika va bien te pomper !
Vincent n’avait aucune envie de l’en empêcher. Il n’en croyait pas ses oreilles et se sentait un peu comme dans un rêve. Il aimait entendre les mots qui sortaient de la bouche de la beurette. Elle lui parlait crûment et ça lui changeait de ses rapports quasi muets avec sa femme. L’idée de se faire tailler une pipe par la jeune obsédée, la perspective de sentir ses lèvres charnues et humides sur sa verge, tout cela concourrait à lui redonner encore un peu plus de vigueur. Sa pine lui paraissait démesurée, gonflée à bloc, raide comme jamais. Ses couilles velues lui faisaient presque mal à force de se contracter. Assis sur le rocher, les bras en arrière, de part et d’autre de ses côtes, il attendait impatiemment que la bouche de la vicieuse vienne effleurer son gland. Il ferma les yeux pour savourer pleinement l’instant fatidique où les lèvres se posèrent enfin sur son nœud ultra-sensible.
Malika s’était agenouillée à même le sol, sur le fin tapis de feuilles mortes qui subsistait de l’hiver passé. Vincent se détendait lentement. Quand les lèvres de la beurette étaient entrées en contact avec sa queue, il n’avait pu réprimer un petit gémissement de contentement. La chaleur enveloppante de la bouche pulpeuse s’était peu à peu propagée à toute sa bite, au fur et à mesure que celle-ci s’enfonçait entre les joues de Malika. L’introduction du gros mandrin s’était déroulée sans difficulté particulière. Malika s’appliquait à bien téter le phallus qui lui remplissait la bouche. Les bras posés sur les cuisses de Vincent, elle le tenait serré contre elle par le bassin, comme si elle avait voulu l’engloutir tout entier. Ses lèvres voraces suçaient le mandrin avec ardeur. Pour le moment, elle se contentait de faire coulisser le manche dans sa bouche, désireuse de renforcer la raideur qui la comblait. Elle savait que ce massage ne suffirait pas à faire jouir l’homme qu’elle avait choisi pour assouvir ses instincts les plus bas. De toute façon, elle n’était pas pressée de le faire exploser. Vincent s’était un peu redressé sur son siège de pierre. Il appréciait le spectacle que lui donnait la jeune maghrébine. La voir s’affairer sur son sexe augmentait son excitation et son plaisir. Il posa spontanément sa main droite sur la tête de la fille et se mit à accompagner ses mouvements. Elle faisait monter et descendre rapidement ses lèvres sur la colonne de chair. Il aurait aimé qu’elle s’attache un peu plus à lui sucer le bout du membre, même si les gestes qu’elle faisait étaient déjà très satisfaisants. Il ne tarda pas à obtenir gain de cause.
La jeune suceuse sentit qu’il était temps de passer à autre chose. Malika se mit à lécher le bout de Vincent avec sa langue, tantôt avec l’aide de ses lèvres, tantôt à l’air libre. Elle haletait presque autant que son partenaire. Celui-ci avait maintenant tendu son autre bras vers la poitrine de la suceuse. Il entreprit de lui masser ses gros nichons à travers le tee-shirt de sport maculé de sueur. La jeune femme était proche de l’orgasme. Ca lui faisait souvent cet effet quand elle suçait un inconnu. Elle se sentait perverse et c’est ce qui l’excitait par-dessus tout. Pour accentuer encore ce sentiment étrange, elle se mit à caresser les couilles de Vincent et même, au-delà, la naissance de sa raie du cul. Malika savait que ce geste accélérerait la survenue du plaisir chez son amant. Elle en avait décidé ainsi. Prête à exploser elle-même, elle souhaitait que les bourses de l’homme se vident dans sa bouche sans tarder. Les attouchements de sa langue sur le gland tendu à l’extrême se firent plus salaces, plus efficaces encore. Elle titilla le petit trou du méat urinaire et le frein avidement jusqu’à ce qu’elle sente enfin les couilles de Vincent se contracter et son sperme chaud se déverser dans sa gorge en longues giclées répétitives. Comme elle s’y attendait, cela suffit à déclencher l’orgasme qui couvait depuis un moment dans ses entrailles. Une dernière giclée de foutre avalée, elle finit par s’effondrer sur le tapis de feuille en se tenant le ventre d’une main, un peu de jus d’homme coulant de la commissure de ses lèvres.