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La porte s’est ouverte. J’ai tourné la tête quand j’ai entendu le grincement des charnières suivi par celui des lames du parquet. Francis m’avait fait une sacrée surprise en s’interrompant ainsi de me lécher la chatte pour interpeller son ami. Je ne connaissais pas Emile mais j’appris à faire sa connaissance au cours de la soirée. Pour le moment, je découvrais son physique de quinquagénaire cochon. Il paraissait en effet un peu plus jeune que mon amant, mais à peine. Il portait un survêtement de marque un peu ancien mais encore présentable. Il était grand et fort, plus costaud que Francis. Son crâne dégarni et ses cheveux coupés très courts lui donnaient un air assez strict qui n’était pas pour me déplaire. Il semblait aussi plus distingué que mon partenaire habituel. Enfin, c’est l’image qu’il me donna au moment même où il entra en scène, en pénétrant dans la petite chambre.
J’étais complètement à la merci des deux vieux pervers.
Emile s’approcha du lit puis grimpa dessus, non sans avoir retiré son pantalon et son haut de survêtement. Il vint me coller sa bite sous le nez et je compris tout de suite ce qu’il attendait de
moi. Le salaud avait dû se toucher en nous regardant baiser tous les deux, caché derrière la porte. En tous les cas, il était très excité car sa bite bandait bien fort et son bout rouge était
humide. Je voyais son gland qui poussait derrière la barrière du prépuce. La fine peau s’écartait un peu sous la pression de son érection. Il était à genoux à côté de moi. Je tournai la tête vers
lui pour le prendre avec ma bouche, comme il le souhaitait. Mes lèvres se posèrent sur la pointe de son phallus et poussèrent délicatement sur la couronne de peau pour la faire refluer derrière
le champignon mouillé.
Francis me prit jusqu’à la garde d’un seul coup brutal, m’arrachant au passage un gémissement plaintif très peu discret. Son gros manche me perforait la chatte. Il commença à me pistonner
aussitôt, me procurant des moments d’intense bonheur que, je le savais, il partageait.
Je lâchai la queue d’Emile et, volontairement salope, je m’adressai à lui sur un ton implorant qui ne pouvait pas le laisser indifférent :
- Monsieur Emile, j’aime votre zizi dans ma bouche, mais je préférerai que vous le mettiez dans mon cul maintenant ! Mes petites fesses ont besoin de se faire remplir. Mettez-moi votre bite dans
l’anus s’il vous plaît, enculez-moi maintenant, là, tout de suite ! Passez votre gland sur le bord de mon trou d’abord puis entrez dedans jusqu’au fond ! Vite, vite, j’en ai besoin…
Ce que j’exigeais de lui n’était pas bien possible dans la position que nous occupions tous les trois. Alors Francis, qui avait tout entendu, et sorti de mon vagin. Il est venu se mettre sous moi
et je l’ai chevauché en entrant moi-même sa queue dans mon orifice intime. J’avais repris du poil de la bête et je me suis agitée quelques instants au-dessus de lui, tandis qu’il empaumait mes
petits seins à pleines mains. Il me triturait les bouts sans douceur. Ca m’excitait beaucoup. Emile est venu se mettre derrière moi. Je me suis allongée un moment sur le torse velu de Francis,
pour lui présenter ma croupe. Il a écarté mes fesses de ses larges mains de sportif. Surprise, j’ai senti sa langue passer à trois ou quatre reprises sur mon petit oeillet espiègle. Puis, c’est
son gland turgide et baveux qui est venu me tartiner la rondelle. Il le fit tourner sur le pourtour comme je le lui avais demandé, m’évasant peu à peu la corolle, creusant son trou avant de
s’enfoncer définitivement dans mon fondement. J’étais conquise par sa façon de faire, tout en douceur. Il se fit nettement plus virulent une fois qu’il fut bien logé dan mon conduit anal, assuré
de pouvoir s’y mouvoir en toute liberté. Son gros pieu coulissait dans le manchon élastique qui se prêtait admirablement à la manœuvre. Je sentais ma couronne rectale distendue par son manche et
ça me faisait du bien.
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