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J’avais mis mes deux mains sur son phallus érigé et je les faisais monter et descendre tout au long du manche. Quand j’arrivais en haut, je serrais mes paumes sur son gland que je massais délicatement. J’avais vu une fille faire comme cela dans un film porno qu’une copine sarthoise m’avait prêté, il y a des années de ça. Gilles, un beau gaillard de Noisy le grand, avait l’air d’apprécier mes gestes de jeune salope sur son sexe. Il redoublait d’attention envers ma petite chatte qui palpitait sous ses doigts. Le pauvre devait avoir la main toute trempée, tant le jus coulait abondamment de mon trou.
J’écartais les genoux au maximum pour lui offrir un accès le plus complet possible à ma fente. Je ne m’étais pas rasée le pubis et autour de la vulve mais j’avais coupé très courts les poils de
ma chatte. Ca faisait une sorte de petit paillasson très dru qui avait l’avantage de faciliter la tâche des doigts de mon partenaire. Celui-ci se laissa aller à me caresser sous le sexe, juste à
l’orée de ma raie du cul . Cette zone était très sensible et ses attouchements licencieux augmentèrent encore mon désir. Je lui montrai que j’étais prête à toutes les perversions en basculant mon
bassin vers l’avant pour lui permettre d’accéder partout ou il le souhaitait. Il comprit tout de suite où je voulais en venir et ne se fit pas prier pour me toucher la totalité du sillon, de la
pointe de mon clito jusqu’à la naissance de ma raie des fesses, au bas du dos. Ses mains me donnaient beaucoup de bonheur. Il regardait alternativement mon corps et le plaisir qui grandissait sur
mon visage au fur et à mesure que ses caresses se faisaient plus vicieuses. Je n’ai bientôt plus été capable de résister. Une première alerte se déclencha dans mon ventre et je tressaillis d’aise
sous l’action bienfaisante de ses doigts. J’ai fini par faire jouir le Parisien avec mes doigts. J’étais pourtant tiraillée entre deux sentiments contradictoires : l’envie de lui vider
les couilles et celle de conserver toute son énergie vitale pour les futurs développements qui s’annonçaient. Je n’eus pas à décider car, subitement, ses couilles se raidirent et il éjacula une
fontaine de foutre qui vint s’écraser sur mon ventre, juste au-dessus de mon petit paillasson. Sa sève se mit aussitôt à couler vers ma jeune chatte. Il m’en barbouilla la vulve avec sa main
et m’en fourra même un peu à l’intérieur. Il s’est peu à peu laissé glisser vers mon entrejambe. Ce n’était plus sa main qu’il voulait coller sur ma chatte mais bel et bien sa bouche.
Lentement, il pivota pour venir se coller à moi. Je voyais son phallus qui se rapprochait insensiblement de mon visage. Je savais ce qu’il attendait de moi et j’étais tout à fait prête à le lui
donner. Sa bite était bien vivante et je m’en aperçus quand elle se mit à grossir sous l’action bienfaisante de ma langue. Il s’attachait surtout à bien me travailler le clito, n’hésitant pas à
le pomper avec ses lèvres comme je le faisais moi-même de sa grosse pine qui m’emplissait la bouche.
Vicieuse, j’ai mis mon index entre mes lèvres aux côtés de sa queue. J’en ai profité pour lui toucher le bout du gland et faire rouler mon doigt dessus. Quand celui-ci a été bien lubrifié par ma
salive, je l’ai lancée à l’assaut de son oeillet, non sans lui caresser doucement les couilles au passage. Là, j’ai senti entre mes lèvres qu’il grossissait encore un peu. Après seulement
quelques secondes de massage sur sa rosette sa verge avait pris des proportions tout à fait inouïes. Mes joues étaient distendues par son braquemart et j’avais beaucoup de mal à le conserver
tout entier dans ma bouche.
Je n’ai pas osé introduire véritablement mon doigt dans son cul. Je me suis contentée de lui tâter le bord du trou. Je remarquais bien que ça lui faisait plaisir car, quand j’insistais bien sur le pourtour, il poussait de petits gémissements qui le trahissaient. Je le comprenais tout à fait car je ressentais moi-même tout le bien que me procurait sa langue sur mon anus. La pièce était emplie de nos râles qui se transformèrent en vrais cris quand nous nous mîmes chacun simultanément à exprimer notre plaisir de jouir sous la bouche de l’autre.