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j’ai sucé un grand black qui occupait une chambre pas très loin de la mienne. Je l’avais croisé dans le couloir alors qu’il revenait des douches communes, la taille ceinte d’une simple serviette blanche. J’ai tout de suite vu à la bosse que son kiki faisait qu’il bandait sous son linge. Je l’ai suivi jusqu’à sa chambre et je me suis faufilé derrière lui quand il est entré. J’ai refermé la porte et je l’ai poussé vers son lit.



Ca faisait déjà trois jours que je n’avais pas foutu une bonne queue dans ma bouche. En plus, j’avais vraiment envie de voir à quoi ressemblait une verge d’Africain. Je n’ai pas été déçue, même si je m’attendais à quelque chose d’encore plus impressionnant avec tout ce que j’avais entendu. Toujours est-il que j’ai eu un peu de mal à en faire le tour avec mes lèvres. Alors je l’ai d’abord bien travaillée avec ma langue. Elle n’avait pas le même goût ni la même odeur que les pines d’Européens que je suçais habituellement. Elle n’était pas meilleure, simplement différente. Je l’ai enveloppée dans ma langue pour la chauffer puis, à force de faire des efforts, j’ai réussi à me la mettre bien au fond des joues. Je me souviens que j’avais les lèvres distendues et que ça me tirait aux coins. Je me rappelle aussi comme j’ai trouvé amusant le lait blanc qui est sorti de cette tige toute noire quand mon partenaire a joui. Il a giclé dans ma bouche, sur mon visage et sur mes fringues. J’étais bien embêtée pour sortir de la chambre sans me faire remarquer.

Une autre fois, je suis retournée le voir alors que je savais pertinemment qu’il n’était pas seul. Un de ses copains était avec lui, un autre black tout aussi balaise. Ils m’ont accueillie comme une pute. Ca tombait bien, j’étais vraiment en manque de sexe. Je me suis agenouillée devant eux et je les ai pompés tous les deux. Enfin, alternativement quand même. J’aurai été bien incapable de mettre leurs gros braquemarts dans ma petite bouche en même temps. Pendant que je taillais une pipe à l’un d’entre eux, je branlais son voisin et vie-versa. Même mes doigts éprouvaient des difficultés pour faire le tour de leurs engins, surtout celui du copain. Ce jour-là, je leur ai aussi demandé de me prendre l’un après l’autre. Qu’est-ce qu’ils m’ont mis ! Je suis retournée dans ma chambre en ayant du mal à serrer les cuisses et en sentant leurs foutres mêlés qui coulaient le long de mes jambes. Heureusement, je n’ai croisé personne dans les couloirs de la résidence.

Dim 8 jun 2008 Aucun commentaire