Cette première rencontre avec Mireille a été suivie de bien d’autres par la suite. Au fil du temps, je suis moi aussi devenu plus expérimenté. Mais je garderai toujours un souvenir ému de cette première fois avec celle qui est devenue mon initiatrice. La sensation agréable de mon poing serré dans sa chatte est restée gravée à tout jamais dans mon esprit. Pendant plusieurs jours, je me suis branlé comme un fou en projetant dans mon cerveau pervers l’image de ma main fichée dans son sexe. Mon fantasme enfin réalisé, on aurait pu croire que l’envie de fister des vulves me passerait. Il n’en fut rien. Cette expérience réussie m’avait au contraire démontré l’intensité de mon goût pour le fist-fucking. D’ailleurs, une semaine plus tard à peine, j’étais de retour chez Mireille pour lui remplir à nouveau le ventre. Cette fois-ci, tout s’est passé de manière moins mécanique entre nous. J’avais franchi une étape dans la voie de mon initiation et je me sentais prêt à multiplier les séances. Sans me vanter, je crois que ma partenaire trouvait son compte dans la manière dont je lui fourrais le vagin.
Comme promis, elle me présenta à certaines de ses amies. Nous avons passé deux ou trois mois à faire l’amour assez souvent en attendant. Un jour, alors que je venais la voir, j’ai eu la
surprise de tomber sur une de ses connaissances, allongée sur le lit avec elle. C’était une femme un peu plus âgée qu’elle, peut-être une quadragénaire. Elle était moins bien foutue que
Mireille mais pas moins sexy. Elle était allemande d’origine et s’appelait Martha. Quand je les ai vues toutes les deux sur le pieu, j’ai tout de suite compris qu’il y avait entre elles
bien plus que de l’amitié. Elle s’était visiblement déjà amusées ensemble avant mon arrivée. Les godemichet qui traînaient au pied du lit étaient là pour en témoigner, tout comme leurs
tenues affriolantes d’ailleurs. Elles étaient toutes les deux vêtues de lingerie fine blanche, ce qui mettait en valeur leurs corps éternellement bronzés par le soleil de la Côte
d’Azur. C’est également cette journée-là que j’ai pour la première fois été récompensé pour avoir donné du plaisir à une femme. Juste avant que je ne quitte les deux amies, Martha a glissé un billet de 500 francs dans ma main. J’étais un peu gêné mais, en me raccompagnant, Mireille m’a expliqué qu’à travers ce geste, Martha voulait seulement marquer l’absence de sentiments entre nous. Étudiant sans le sou à l’époque, j’ai ravalé ma fierté mal placée et empoché le billet sans renâcler. Quelque temps plus tard, une autre expérience inédite est venue enrichir ma vie sexuelle. Quand je suis arrivée chez Mireille ce jour-là, elle n’était pas seule non plus. En progressant dans le couloir qui menait à sa chambre, j’ai entendu une voix d’homme, ce qui n’était pas fait pour me rassurer. Quand j’ai poussé la porte, j’ai trouvé mon hôtesse accouplée avec un jeune type, lui-même sodomisé par une femme d’un certain âge. Ce fut ma première rencontre avec Mike et Jessie. J’ai appris par la suite qu’il s’agissait d’un jeune gigolo et de sa maîtresse anglaise, qui vivaient sur un yacht amarré dans le port d’Antibes. Je n’en menais pas large. La perspective de partager le lit de Mireille avec un autre homme ne m’enchantait guère. Pourtant, au bout de quelques secondes et alors que le trio poursuivait ses ébats sans même me jeter un regard, je sentis l’excitation monter dans ma verge. J’avais l’impression de vivre en direct une scène déjà maintes et maintes fois visionnée à travers les cassettes de mon père. A la notable différence que, cette fois-ci, je pouvais moi aussi y participer. Quand Mireille a enfin daigné jeter un oeil dans ma direction, j’ai abandonné mes inhibitions et me suis joint au groupe après m’être déshabillé. Ce soir-là, j’ai fisté les deux femmes à tour de rôle. C’était la première fois pour Jessie. Avant de l’enfiler, je me suis occupé de Mireille pour lui donner un aperçu de mes talents et démystifier un peu ce qui allait lui arriver bientôt. Mike ouvrait des yeux ronds comme des billes en me regardant pénétrer intimement la chatte de ma maîtresse jusqu’à la garde. Lorsque mon poignet a fini par passer entre les lèvres de sa vulve, Jessie n’a pas pu s’empêcher de lâcher un cri de stupeur. Quand j’ai eu ressorti mon poing de la chatte béante de Mireille, elle s’est empressée de se mettre en position pour me recevoir à son tour. Je lisais dans ses yeux le désir qu’elle avait de se sentir comblée par ma main mais aussi une légère appréhension. J’ai procédé à la pénétration avec douceur et ménagement, sous le regard ébahi de Mike qui n’en pouvait plus de voir sa maîtresse empalée sur mon poing. Heureusement, Mireille s’est chargée de le sucer jusqu’à ce qu’il finisse par se vider les couilles dans sa gorge. Ensuite, elle s’est occupée de ma bite pendant tout le temps que j’ai mis à faire jouir Jessie. A la fin de l’automne, Mireille a quitté sa villa pour passer l’hiver en Floride. Je ne pouvais pas l’accompagner à cause de mes études et, d’ailleurs, je crois que nous avions fini par nous lasser un peu de nos jeux amoureux. Heureusement, grâce à elle, j’avais fait la connaissance de nombreuses personnes qui appréciaient ma compagnie. J’avais aussi acquis une solide expérience du fist-fucking qui faisait ma réputation dans les milieux sexuellement branchés de la côte. Cela m’a valu ma première invitation à une véritable partouze organisée dans une luxueuse villa du bord de mer.
Là, j’ai dû fister à la chaîne plus d’une dizaine de chattes. Il y avait de tout : de vieilles rombières en mal d’émotions, de jeunes nymphettes à peine sorties de l’adolescence, des
femmes mariées à la recherche de nouvelles sensations. Je me suis fait un point d’honneur à satisfaire au mieux chacune de mes partenaires. Je me suis rendu compte que j’avais été annoncé
comme le clou de la soirée. Vers minuit, les hommes ont placé côte à côte une dizaine de lits sur lesquels sont venues s’allonger les femmes qui m’étaient destinées. Puis ils se sont
installés sur leurs bustes et leurs ont donné leurs bites à sucer. C’est alors que je suis entré en piste. Équipé de mon matériel, la main enduite d’huile et bien lubrifiée, j’ai enfilé
chacune des femmes à son tour. Je me suis aussi fait un petit plaisir, en n’hésitant pas à fourrer en même temps mes deux mains dans deux sexes voisins. J’étais juste un peu frustré de ne
pas pouvoir jouir pleinement des grimaces de plaisir qui déformaient généralement les traits de mes compagnes quand je les remplissais. http://www.megaupload.com/?d=QSMBD3RA http://www.megaupload.com/?d=YM7T6JJ5 http://www.megaupload.com/?d=Y04AW1GW http://www.megaupload.com/?d=6NJX1Q6D http://www.megaupload.com/?d=GXE9K5BM
Hier soir, par exemple, j’étais non loin de Marseille, invité par un couple de jeunes mariés. Le mari, un homme dans la force de l’âge, souhaitait que j’initie sa toute jeune épouse. J’ai
été particulièrement délicat avec elle. Comme souvent avec les plus jeunes filles, j’ai utilisé du matériel pour lui dilater la vulve. Même si son mari m’avait assuré qu’il l’avait bien
préparée au cours des jours qui avaient précédé ma venue, j’ai préféré me montrer prudent. J’ai sorti de ma mallette le petit spéculum de gynécologue qui ne me quitte jamais et je m’en
suis servi pour lui ouvrir le sexe suffisamment. Je pouvais voir à l’intérieur de sa petite chatte. Quand elle a été suffisamment dilatée, j’ai, comme à mon habitude, enfilé mon poing
lubrifié dans son trou, jusqu’à la faire gueuler de plaisir. Je crois que, tout autant que la jeune fille, le mari a été comblé par mon intervention et les perspectives nouvelles que lui
ouvraient l’initiation de sa femme. Il m’a grassement rétribué pour ma prestation. |
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