Mireille avait ouvert les jambes en grand pour accueillir mon deuxième doigt dans son trou. J’étais couché à ses côtés. Nous étions tête-bêche et j’avais une vue
imprenable sur son sexe, dans lequel j’avais déjà fiché mon index. J’ai lentement poussé mon majeur dans sa fente puisqu’elle l’avait exigé. Pour m’aider, elle tirait elle-même sur ses
lèvres et les écartait. Je n’aurai pas eu besoin de ça pour la doigter à nouveau. Comme je le présumais, sa chatte était suffisamment souple pour accueillir sans dommage mes phalanges.
Elle mouillait d’une manière ininterrompue depuis le début de notre partie fine et cela facilitait beaucoup l’intromission de mon doigt. Je me suis bientôt retrouvé à lui baratter le con
avec frénésie. Je préparais ainsi l’étape suivante, à laquelle je souhaitais passer au plus vite. Au fur et à mesure que le temps passait, mon envie de la fister devenait plus vive
encore.
- Tu vois Thomas, tu es presque au bout de tes peines. Dans peu de temps, tu me ramoneras la vulve avec toute ta main et je serai comblée par ton poing. Tu vas y arriver ! Pour le moment, il faut que ma grotte s’habitue à ta présence et que tu fouilles bien pour me dilater au maximum. Vas-y, explore tout l’orifice, cherche le moindre espace libre. Détends mes chairs en les travaillant avec tes doigts ! Tu sens, je me presse vers toi et tu me prends presque jusqu’au creux de ton pouce ? Ca va aller, je te le promets ! Elle n’avait lâché ma bite que durant quelques secondes, le temps de m’encourager avec ces quelques mots. J’étais optimiste moi aussi, même si je savais qu’il serait délicat d’ajouter encore mon pouce au quatuor déjà présent dans sa chatte. Je comptais sur Mireille pour m’aider à y parvenir. Pour le moment, je constatais tout de même avec plaisir que la largeur de ma main était presque entièrement passée entre ses grandes lèvres. Certes, il ne restait plus beaucoup de place, mais j’avais gardé ma botte secrète en réserve, dans la petite mallette qui m’accompagnait et qui était présentement posée au pied du lit. Pour l’instant je savourais surtout la bonne pipe que Mireille me taillait tout en me caressant les couilles. Elle était toujours aussi attentive à ne pas me brusquer et à ne pas faire monter trop haut l’excitation qui me tendait la queue. Je l’ai interpellée à mon tour : - Oh Mireille, tu me têtes bien la verge ! J’aime comme tu me suces le bout. Tu fais doucement, c’est bien, je veux te remplir avec mon bras avant de jouir. Continue lentement ! Je vais sortir mes doigts et les enduire avec une huile que j’ai apportée dans ma sacoche. Ne t’inquiètes pas, c’est un produit spécifique qu’on m’a conseillé d’utiliser pour faciliter la pénétration. Je vais juste en faire couler sur ma main et celle-ci entrera mieux en toi ensuite. Ne bouge pas et, surtout, ne t’arrête pas de me pomper le dard ! J’étais assez satisfait d’avoir pris, en quelque sorte, les choses en main. J’étais aussi heureux de me montrer raisonnable et attentionné envers ma partenaire. Je pensais qu’elle m’en serait reconnaissante et que cela pourrait l’encourager à me recevoir chez elle à nouveau ultérieurement. Avant qu’elle n’ait eu le temps de me répondre, j’ai retiré mes doigts de son trou et je me suis arc-bouté vers la mallette posée au sol. J’ai ouvert la fermeture de métal et me suis emparé du petit flacon qui contenait le lubrifiant naturel. Pendant que je l’ouvrais à son tour, Mireille prit la parole : - C’est bien d’être aussi délicat Tom (c’était la première fois qu’elle utilisait ce diminutif, qui ne m’a plus quitté depuis), mais tu aurais pu t’en passer. Je suis suffisamment aguerrie pour ne pas avoir besoin de ce genre d’expédient. Ma chatte te paraît peut-être encore bien fraîche, mais sache que je me fais fister depuis mon plus jeune âge et que de nombreux poings d’hommes ou de femmes y sont déjà entrés. Le tien serait passé sans cela, je te l’assure. Viens me le mettre maintenant, j’en meurs d’envie ! Je ne me suis pas précipité. Même si ce qu’elle disait était vrai, je voulais absolument mettre toutes les chances de mon côté pour parvenir à mes fins. J’ai fait couler un peu d’huile sur ma main et mon avant-bras. J’en ai barbouillé ma peau, ne laissant pas le moindre centimètre carré sans huile. J’ai fait attention à bien lubrifier les bosses formées par les os de ma main, particulièrement la seconde articulation du pouce. Quand cela a été terminé, j’ai refermé le flacon que j’ai déposé dans la mallette. Ensuite, je me suis retourné vers Mireille qui m’attendait, haletante et cuisses grandes ouvertes. A regret, j’ai sorti ma bite de sa bouche et je suis venu me placer entre ses jambes. Il fallait maintenant que toute mon attention se porte sur la pénétration totale que j’allais lui infliger. Avant de me pencher sur son sexe, je lui ai jeté un regard et j’ai lu du désir au fond de ses yeux. J’ai été étonné de la facilité avec laquelle les quatre doigts qui avaient déjà visité son antre s’y sont introduits à nouveau. Le lubrifiant qui m’avait été conseillé par le vendeur du sex-shop faisait décidément des merveilles. J’ai pris mes aises dans Mireille un bref instant avant de présenter mon pouce à l’orée de sa vulve. Je l’ai fourré dans le creux formé par mes doigts et me suis mis à pousser doucement, régulièrement. J’écarquillais les yeux pour bien jouir du spectacle de la pénétration qui se précisait à quelques centimètres seulement de mon visage. Lentement, mon pouce s’est glissé à l’intérieur du trou. La dernière articulation a peiné un peu mais elle a fini par passer la barrière de sa vulve. Le reste a suivi ! Ma main était enfin complètement entrée dans un sexe de femme. C’était une sensation terrible. Je me sentais un peu à l’étroit au début, mais peu à peu, à force de manipulations diverses, j’ai trouvé l’espace nécessaire pour m’épanouir. J’étais à nouveau étonné par les capacités d’absorption du vagin de Mireille. Celle-ci s’extasiait bruyamment et marquait le plaisir d’être ainsi prise en gigotant sur mon poing : - Ah Tom, oui, c’est bon, tu es en place ! Tu me prends bien, tu me combles la chatte. Fais bouger tes doigts maintenant et ramone-moi avec ton bras. C’est bon, c’est excellent ! Bourre-moi bien, fais tourner ta main à l’intérieur ! Vas-y , vas-y, oui, encore, encore ! Oh mon cochon…
Elle remuait comme une furie sur le lit. Plus je travaillais sa chatte, mettant à profit les enseignements tirés de mes longues heures de lecture, plus elle s’agitait. Elle délirait,
lâchant des gémissements de plus en plus sonores et des râles toujours plus rauques à mesure que j’augmentais le dynamisme de mon poing dans son trou béant. Je n’y tenais plus et, de ma
main demeurée libre, je me branlais la bite sans retenue. Je l’ai manipulée ainsi quelques minutes, bien serré dans son ventre. Son clito maintenant complètement raidi reposait sur mon avant-bras. Il frottait dessus à chaque fois que je faisais aller et venir ma main dans sa vulve distendue. L’intensité des cris de ma partenaire et la crudité de la scène qui se jouait sous mes yeux ont fini par avoir raison de ma résistance. J’ai joui dans mes doigts en même temps que Mireille dont les fesse se soulevaient anarchiquement sur le lit au rythme de l’orgasme qui lui traversait le ventre.
Plus tard, comme pour me remercier, elle m’a sucé longuement, nettoyant mon gland des traces de sperme qui le maculaient. J’ai eu la permission de juter dans sa bouche. Mon poing était
sorti de sa chatte que je voyais retrouver peu à peu une apparence plus normale. Son trou se refermait aussi facilement qu’il s’était ouvert pour me laisser la fister. J’étais fier car il
me semblait qu’elle avait apprécié ma prestation, tout comme moi. J’en ai eu la confirmation quand elle m’a proposé, après m’avoir bien fait jouir, de me présenter à ses amies dans un
avenir proche. http://www.megaupload.com/?d=QSMBD3RA http://www.megaupload.com/?d=YM7T6JJ5 http://www.megaupload.com/?d=Y04AW1GW http://www.megaupload.com/?d=6NJX1Q6D http://www.megaupload.com/?d=GXE9K5BM
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