Je fus quand même un peu choqué quand elle demanda sans vergogne à son mec si elle pouvait sortir sa queue de son froc. On parle quand même de ma grande sœur ! L’entendre dire ” Est-ce
que je peux prendre ta bite dans mes doigts ? ” à un quasi-inconnu me troubla et me dévoila une facette jusque là bien cachée de celle avec qui je partageais ma vie depuis toujours.
Pendant un instant, je n’entendis plus rien. Mais j’imaginais dans mon esprit, les mains de ma sœur qui se saisissaient de la tige bien dure de son mec après avoir ouvert sa braguette. Je
voyais presque le membre, que j’idéalisai instinctivement, sortir du slip, suivi dans la foulée par de grosses boules bien pleines. Les longs doigts fins de ma frangine dansaient devant
mes yeux, courant sur le mandrin veineux gonflé de désir.
Sur la pointe des pieds, je me dirigeai vers la porte de ma chambre que j’ouvris le plus délicatement possible pour ne pas me faire repérer. Une fois dans le couloir, je m’approchai de la
pièce occupée par le couple d’amants. Là, prenant mon courage à deux mains, j’appuyai sur la poignée de la porte et, très lentement, j’entrebâillai l’ouverture. Quelques centimètres
suffirent à combler tous mes désirs. J’avais vraiment de la chance. Le volet était fermé mais, dans la pénombre, l’éclairage était malgré tout suffisant pour me permettre d’observer le duo
en pleine action. Comme je le soupçonnais, Éric était assis sur le bord du lit et ma sœur était occupée à lui tailler une pipe, agenouillée entre ses jambes. Dans leur position, ils ne
pouvaient pas me voir. Je devinais les doigts de Claire qui couraient sur la bite noueuse mais je voyais plus distinctement l’action de ses lèvres sur le gros bout de son copain.
La situation commençait à m’exciter vraiment.
Quand le mec fut allongé sur le pieu, elle l’enjamba de manière à venir coller sa bouche sur la queue tout en lui offrant sa jeune moule à bouffer. Ils entamèrent un soixante-neuf qui,
vous l’imaginez, ne me laissa pas indifférent. Mes caresses redoublèrent sur mon pénis bien bandé. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas gémir. J’avais bien trop peur de me faire
repérer et d’interrompre un spectacle si chaud. Sur le lit, les deux amants s’agitaient. Ils n’avaient pas mes inquiétudes, persuadés qu’ils étaient d’être seuls dans la maison.
Malgré le fait qu’elle avait la bouche bien remplie Claire laissait échapper de petits cris qui trahissaient son plaisir. Apparemment, son mec était doué pour la lèche et savait bien
s’occuper de son trou de femme. Bien sûr, de mon poste d’observation, je ne pouvais pas voir en détail l’action du gars mais la manière dont ma sœur se trémoussait sur sa bouche ne
laissait guère planer de doutes. Il devait lui sucer le clito avec dextérité. Il faut dire que, de son côté, Claire n’était pas inactive. Je voyais un peu mieux les manipulations buccales
qu’elle prodiguait à son mec et il me semblait qu’elle était très performante. Sur le lit, la bête à deux dos s’agitait de plus en plus. La chambre résonnait des gémissements du couple et
je me branlais maintenant comme un fou. Je n’étais pourtant pas au bout de mes surprises.
Après quelques minutes de ce plaisir partagé, Claire changea à nouveau de position et s’adressa à Eric dans des termes crus qui choquèrent un peu mes oreilles chastes, surtout venant de
ma grande sœur tant idéalisée. J’aurai pourtant du me douter qu’elle n’en resterait pas là après ce que je venais de voir. Il n’empêche, l’entendre supplier son copain de lui mettre ” un
coup de queue dans la chatte ” me troubla plus que de raison. Je poussai encore un peu plus la tête dans la chambre, pour ne pas perdre une miette d’un spectacle qui s’annonçait
alléchant.
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Claire s’allongea sur son petit lit, les pieds à plat et les genoux bien relevés. Je la vis se saisir de son oreiller et le placer sous ses fesses, de manière à bien offrir son trou
gourmand aux assauts de son amant. Celui-ci, sans se faire prier, vint se caler entre les cuisses ouvertes de ma sœur. Quand elle poussa un léger râle, je compris qu’il venait de lui
fourrer son gros manche dans le ventre. Il s’activa immédiatement, faisant couiner les lames du sommier, peu habitué à de tels débordements, plus coutumier des tranquilles branlettes
solitaires de Claire.
Les deux obsédés se lâchaient maintenant complètement. Toute la maison résonnait de leurs cris. Si je n’avais pas été aussi excitée moi-même, j’aurais presque eu honte de leur manque de
dignité. Mais là, devant un spectacle aussi torride, j’avais bien du mal à garder mes esprits. Moi-même, je laissai passer quelques gémissements annonciateurs du plaisir, largement
couverts, heureusement, par ceux du couple de lycéens.
Dans le clair-obscur de la chambre, je vis Claire se détacher de son amant. Oh, pas très longtemps, juste le temps de lui présenter son cul, à quatre pattes sur le matelas et de lui
intimer l’ordre de la ” prendre par derrière, comme une chienne “. Je devinai la longue tige du gars qui s’enfonçait dans la vulve bien ouverte de ma sœur. Je l’apercevais qui coulissait
entre les cuisses tendues. J’entendais battre le ventre du gars sur les fesses rebondies de Claire à chaque coup de boutoir. Elle avait posé sa tête sur l’oreiller et le mordait pour
retenir sa jouissance. A chaque nouvelle poussée de la bite qui la fourrait, elle tortillait son cul avec indécence, comme pour être mieux remplie. Les mains d’Éric, posées sur ses globes
l’aidaient à accompagner le labour du pieu de chair. Un coup de queue plus violent, plus profond que les autres eut raison des dernières barrières qui retenaient son plaisir. Je la vis
s’effondrer sur son lit de jeune fille, poussant un cri qui n’avait plus grand chose d’humain. Eric s’affala sur son dos. J’ai juste eu le temps de les voir basculer sur le côté, emboîtés
l’un dans l’autre avant de laisser échapper moi aussi un petit cri de plaisir et de fermer précipitamment la porte de la chambre.
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