Karine s'écarta et me contempla. Elle me félicita pour ma silhouette et me confirma que cet ensemble m'allait à ravir. Au passage, elle me réajusta un bonnet du soutien-gorge, effleurant
doucement mon sein. Immédiatement, la culotte blanche fut inondée. J'étais rouge de honte. Karine crut d'abord que j'étais encore gênée pour l'incident d'avant. Elle me prit de nouveau
dans ses bras mais sentit que ma poitrine pointait nettement vers elle et que mon ventre était chaud. Dans le miroir elle compris en voyant que la culotte montrait encore plus les
contours de mes lèvres intimes. Aussitôt elle m'embrassa sur la bouche, se frayant rapidement un chemin pour que nos langues s'apprivoisent. J'étais à la fois mal à l'aise mais
terriblement bien et extrêmement excitée.
Elle m’enleva mes dessous et se dénuda aussi. Elle me prit de nouveau dans ses bras, amoureusement, me caressant tout le corps. Elle m’invita à fermer les yeux en fixant mon attention sur
ma peau. Ses mains parcouraient chaque centimètre carré de mon corps pour découvrir ses espaces de volupté. Sa voix chaude et suave à mon oreille me rassurait. Ses mains furent
d’abord un peu hésitantes, se promenant dans mon cou et sur mes épaules, puis passant dans mon dos. Puis vinrent le ventre, les jambes, les genoux, les cuisses, les hanches… Je commençais
à franchir les barrières de ma timidité. Elle remonta autour de ma poitrine. Elle caressait les pourtours de mes seins. Ils me paraissaient avoir changé d’allure, ils semblaient plus
fermes. Je sentis une vague de douceur m’envahir peu à peu, redoublant d’intensité quand elle effleura pour la première fois mes tétons. Ils étaient extrêmement sensibles, libérant de
petites décharges quand elle les triturait.
De premiers soupirs s’échappèrent malgré moi de ma gorge. Je sentais dans sa voix qu’elle souriait. Peu à peu, mon ventre chauffait et je percevais déjà les signes indiscutables
d’une excitation insensée. La main droite de mon amie descendit vers l’intérieur de mes cuisses. Karine la belle Alençonnaise me connaissait, aussi elle ne se précipitait pas, elle
contrôlait sa pulsion et s’intéressait d’abord aux contours de mon calice. Elle parcourut donc la face interne de mes cuisses dont la douceur la surprit. Puis en remontant, elle comprit
que le pli à la jonction entre les cuisses et les fesses me procurait de très agréables sensations. Elle en profita pour me masser les fesses. elle me conseilla à cet instant de
m’allonger et de remonter mes cuisses écartées. La sensation était exquise et la position très excitante.
Bientôt, je n’en pu plus. Ses doigts effleurèrent mes lèvres et je sentis mon bassin se lever instinctivement m’envahissant de plaisir. Sa main se posa à plat sur mon fruit d’amour et
entama un mouvement doux et régulier, massant mes lèvres. Elles étaient gonflées comme jamais elle ne l’avaient été de toute ma vie. J’avais les pires difficultés à contrôler mes
mouvements tant le plaisir était intense. Je respirais irrégulièrement, soupirant presque à chaque mouvement. Mon bassin tournait tout seul sans que je puisse l’arrêter. Je sentais mes
lèvres s’ouvrir sous sa main. Elle fit passer son index et son majeur dans la fente en remontant doucement vers le haut. Une humidité sirupeuse s’empara de ses doigts alors qu’une
nouvelle vague parcourut mon corps depuis mon ventre jusqu’à ma bouche, laissant s’échapper un doux gémissement. Elle venait de découvrir mon clitoris. Il a toujours été de dimension
modeste mais il me procure des sensations d’une intensité inimaginable…
Curieusement, Karine s'arrêta. J'étais pourtant sur mon nuage, partie pour un voyage sans retour. Elle m'invita à ouvrir les yeux de nouveau et à me regarder dans le miroir. Je n'en
revint pas, mes seins avaient légèrement gonflé et se tenaient plus droits avec des tétons fièrement dressés. Ma peau luisait à la lumière des néons de la boutique. Entre mes cuisses, je
ne reconnus plus mon sexe. Il était tout humide, une partie de ma toison était collée, mais surtout il s'offrait béant et rougeoyant encadré par des lèvres gonflées. Au creux de mon sexe,
j'apercevais l'entrée rose de mon jardin secret et au-dessus, un bourgeon fuchsia sortait timidement la tête.
Je m'aperçus qu'elle aussi s'était métamorphosée. Elle respirait plus fortement, ses gros seins pointaient vers le haut de manière indécente et surtout, son sexe était largement ouvert et
luisant avec, sorti, un impressionnant clitoris. Elle vit mon regard indiscret et m'expliqua que, comme chez les garçons, les sexes féminins ont des tailles et des aspects différents.
Elle me confessa aussi que, comme je pouvais le constater, le spectacle que je lui avais offert ne l'avait pas laissée insensible.
Elle commença alors à se caresser l'ensemble du corps. Je fis de même. Elle arriva à ses magnifiques seins et les serra, les pressa, les malaxa, les caressa. Ses pointes s'érigeaient
maintenant telles deux obélisques. Elle les faisait rouler entre son pouce et son index, tirait dessus, les enfonçait. Je ne pouvais tout à fait reproduire ses gestes tant nos anatomies
différaient mais mes mouvements me faisaient atteindre des sommets de plaisir. Elle humidifia ses doigts puis retourna caresser ses aréoles, je fis de même et me sentit fondre. Karine eut
bientôt les cuisses relevées largement ouvertes et se caressa la base des fesses. Je l'imitais mais restai comme hypnotisée quand, après s'être de nouveau humidifié les doigts, elle
mouilla son anus, le stimulant activement jusqu'à ce qu'il s'entrouvre engloutissant l'extrémité de son majeur.
Elle s’intéressa ensuite à son sexe, ouvrant largement ses lèvres. Son clitoris était vraiment incroyable. L’entrée de sa caverne aussi : elle était béante comme attendant d’être comblée.
Karine en caressa les contours mais ne s’y aventura pas encore. Elle s’affaira plutôt sur son clitoris, l’humidifiant avec ses sécrétions et le caressant en tous sens. Je faisais de même.
Bientôt nous gémissions toutes les deux. Ma vue se troublait, m’empêchant de voir distinctement les mouvements de mon amante. Elle, beaucoup plus entraînée, gardait le contrôle. Elle
comprit mon état et stoppa ma montée vers l’orgasme en m’empoignant la main. Dans un état second, je geignis :
“- Oh, non, pourquoi t’as fait ça. C’était si fort !
- Il est encore trop tôt. Tu verras ce sera encore plus fort tout à l’heure.
- Mais c’est pas possible…
- Oh que si ça l’est ! En matière de plaisir, le plus est toujours possible.”
Sur ces promesses, elle m’embrassa la joue tendrement. Je lui rendais son baiser. Karine dût interpréter cette marque d’affection comme une invitation car elle me couvrit bientôt le
visage de baisers tous plus doux les uns que les autres. Ses mains caressaient mes cheveux, je succombais à la tendresse de cet instant. Dans l’oreille elle me glissa :
“- Tu es belle, Cathy. Nos corps sont si différents. Mon corps t’intrigue, je le sais, alors n’aie pas peur, découvre-le, parcours-le, sens comme il vibre à ton contact…”
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Elle s’était plaquée à moi. Je sentais ses seins énorme sur mon corps, son ventre chaud contre le mien. Troublée à l’extrême, mes doigts se mirent à parcourir son dos satiné. Puis ils
atteignirent ses fesses. Elle soupira dans mon oreille. Je massai ses fesses doucement. Les mains de Karine commençaient aussi à me parcourir lentement. Elle se redressa, me caressant
d’une main la poitrine. Je malaxais maintenant fermement ses fesses, excitée par ses douceurs, par la vue de ses seins se balançant sous mes yeux et par la pression de son sexe trempé sur
le mien. Puis ce fut sa bouche qui s’intéressa à mes seins, les léchant, les suçant, les mordillant. Je m’abandonnais alors au flot des décharges de plaisirs qui m’envahissaient
inéluctablement.
Ses mains reprirent leur place sur ma poitrine tandis que sa bouche descendit explorer mon ventre dans ses moindres replis. Sa course s’acheva au creux de mes cuisses ouvertes. Lorsque sa
langue effleura mon bourgeon, je crus défaillir. Mais l’ascension haletante vers mon extase n’était pas terminée. Au gré de ses contournements, de ses lapements, de ses sucions, je
perdais le contrôle.
Karine le gardait pour moi, elle jaugeait à merveille ses caresses pour maîtriser mon plaisir. Alors que j’approchais du but de manière irrésistible, elle introduisit un doigt dans mon
vagin dégoulinant. C’était divin, trop fort pour moi puisque dès qu’elle le mit en action, je fus submergée par la vague. Je partis très loin. Mon seul repère dans la réalité fut ce cri
sourd mais intense qui s’arracha de moi au sommet de l’extase. Je mis un long moment à reprendre mon souffle et mes esprits, nageant dans une espèce d’ouate invisible, m’offrant
totalement aux câlins langoureux et sensuels dema belle qui me glissa juste à l’oreille : “Ce n’est qu’un début Cathy.” Je souris, j’étais heureuse.
Je voulais rendre à Karine le bonheur qu’elle m’avait offert mais nous avions attiré l’attention de la vendeuse qui toussota derrière le rideau. Nous nous sommes relevées et avant même
que nous ayons pu nous repasser le moindre bout de tissu, le rideau s’ouvrit…
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