Sodomie : Julien nous raconte sa belle partie de baise avec Marie de Nantes

Ce lundi il est presque 18 heures et, comme tous les jours, je reviens du boulot. En rentrant chez moi à Nantes, je trouve ma mère attablée avec notre voisine, Marie, devant un café. Maman m’annonce tout de suite qu’elle doit s’absenter ce soir pour le boulot. Mon père l’accompagnera. A ces mots, ma voisine, attentionnée m’invite à dîner avec elle car elle est également toute seule ce soir là.

Il est déjà 20 heures quand je me rends chez Marie pour souper. Elle m’a toujours fait bander. A 54 ans, elle possède de belles formes et parle souvent de sexe avec ma mère. J’ai surpris à plusieurs occasions leurs conversations osées. Marie provoque toujours son entourage avec son pantalon bien moulant laissant habituellement apparaître les strings de dentelle qu’elle affectionne.

On se met rapidement à table. La voisine a préparé un bon repas. Celui-ci se passe normalement mais s’éternise un peu. Il est déjà 22 heures quand nous finissons de manger. Elle me demande alors si je veux regarder un film avec elle sur son tout nouvel écran plat. J’accepte avec un plaisir non dissimulé. Je me mets à l’aise sur son large canapé d’angle. Elle cherche dans son stock de vidéos et sort une cassette pour caméscope. Elle me dit :

- Je suis certaine que cette cassette va te plaire, regarde bien !

Elle enclenche la lecture. Et la, grande surprise ! Sur ce film, on la voit faire un strip-tease langoureux devant son mari. Rapidement, elle se retrouve en sous-vêtements et se place à 4 pattes puis suce son mari. Elle a l’air très doué. Tout à coup, la cassette s’arrête. Elle vient d’appuyer sur un bouton de la télécommande. Elle me lance :

- Je suis sûre que ce film te plait mais je crois que tu préfèrerais voir la réalité.

Elle commence alors à se déshabiller tout en se massant vicieusement les formes. Elle porte un string noir en dentelle qui m’a l’air bien humide de plaisir. Son soutien-gorge est assorti et semble cacher, bien mal en vérité, une superbe poitrine. Elle s’approche de moi et me dit :

- Tu n’as pas encore sorti ta bite alors que je suis morte de faim ?

Elle prend les devants et me déshabille. Puis, elle commence à me branler doucement. Elle s’agenouille et en profite pour faire le tour de mon gland avec sa langue avant de m’engloutir tout entier dans sa bouche. C’est la première fois qu’une femme me suce aussi bien. Elle est à la fois douce et très douée dans ses mouvements. Elle aspire ma verge bien tendue de désir qui ne s’arrête pas de grossir. Puis, elle se relève et me supplie :

- J’ai la chatte en feu, viens me l’éteindre, vite !

A ces mots, je me présente, bien raide, à l’entrée de sa chatte toute mouillée. Je la pénètre doucement mais elle en veut plus, me demande de la défoncer, pas de la caresser. Obéissant, je la troue alors brusquement et bien au fond de sa chatte. Elle hurle et m’implore de continuer plus fort. Je la défonce pendant bien cinq minutes et elle se retire d’elle-même en me disant :

- Je veux la même chose dans le cul. Encule-moi !

Alors je reprends ma bite en main et commence à l’introduire dans ses entrailles. Cette fois-ci, elle me demande d’aller doucement, lentement. Une fois bien entré, le nœud logé dans son trou, elle me demande de la perforer très fort. J’entame alors un mouvement profond de va-et-vient de plus en plus brusque. Cela fait effet, à entendre les cris sauvages qu’elle pousse.

Son cul est bien étroit et chaud. Je m’y sens bien, serré comme jamais. Marie me demande d’aller chercher un petit concombre dans le frigo pour une double pénétration anale. Je m’exécute mais en ramène deux.



L’un de bon calibre, l’autre plus raisonnable.. Elle se met le plus petit dans le cul pendant que je la prends par la chatte. Je coulisse un long moment dans la vulve, cognant par moments le bout du concombre qui remplit son cul. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Marie me demande de mettre ma bite et un concombre dans son cul. Bien que sceptique, je fais entrer très doucement ma queue luisante aux côtés du légume. C’est très étroit.

Quand son cul est bien dilaté, je me retrouve presque coincé en elle. J’ai un peu de mal à aller et venir, mais les chairs élastiques se font à la présence incongrue des deux mandrins qui les écartent. Je la sodomise comme une bête et elle crie de toutes ses forces. Au bout de quelque temps, elle me supplie de lui mettre l’autre concombre, le plus gros, dans la chatte. Je fais de mon mieux pour tenir les légumes et tout en continuant de la baiser. Elle est en larmes et en redemande toujours mais je ne peux pas tenir plus longtemps. Je sors de son cul et elle se met à me pomper comme une reine.



Je décharge bientôt une tonne de foutre au fond de sa gorge et elle avale tout, consciencieusement. Elle me dit que c’est la première fois qu’elle goûte du foutre au concombre. J’ai un peu de peine à la croire.

Peu après, elle se rhabille.

Nous prenons une douche bien méritée ensemble et je rentre chez moi comme si ne rien était. J’attends avec impatience qu’elle m’invite à nouveau car je sais qu’elle a d’autres cordes à son arc. Pour recevoir par mail gratuitement les nouveaux articles de Cathy, inscrivez vous à la Newsletter en cliquant sur la photo à droite...

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