Ce fut un week-end plein de soleil. Il faisait tellement chaud que j'ai dû prendre mes aises et me la mettre à l'air.

J'aime beaucoup lorsque la brise vient me carresser la vulve.

C'est tellement agréable de sentir le vent faire bouger les quelques petits poils qui repoussent sur mon pubis. Tiens, il faut que je prenne rendez-vous avec l'esthéticienne pour un intégral.

L'envie me vient tout naturellement de descendre une de mes mains le long de mon ventre tandisque l'autre s'appliquait à faire durcir mes tétons.

Mon index marqua en temps d'arrêt sur mon clitoris puis très rapidemment vint se placer au bord de mon anus.
Subitement, les souvenirs de la nuit passée avec Elban me revinrent en mémoire.
Je lui en suis encore reconnaissante aujourd’hui car j’ai pu véritablement me lâcher en offrant à ce beau mâle mon derrrière tout entier.
J’étais encore toute chaude et excitée après mes ébats ...

C'était la première fois que je le lui offrais et il avait, semble-t'il, très apprécié.
Avant qu’il ne m’enfile, je l’ai laissé me préparer le derrière.
Nous avons donc commencé comme bien souvent, en nous branlant mutuellement.

Mais je me suis arrangée pour qu’il puisse accéder sans difficulté à mon petit trou plissé.
Je l’ai aussi touché entre les fesses, pour l’inciter à m’imiter.
Je savais qu’il appréciait ce genre d’attouchement et quand je voulais vraiment l’exciter à fond, il me suffisait de le caresser de cette manière pour obtenir une érection de qualité supérieure.

Peu à peu, ma mouille avait glissé dans ma raie et me barbouillait entre les fesses.

Elban avait déjà entré un doigt dans mon petit trou alors que, par devant, son majeur me fouillait agréablement la chatte.
Alors, je me suis tournée vers lui et je lui ai demandé franchement de m’enculer :
” Encule-moi ce soir Elban, je te donne mon cul pour y loger ton kiki. Viens me le mettre maintenant ! ”

Ses yeux se sont allumés et un sourire est passé sur son beau visage. Je voulais qu’il soit dur et gros pour me sentir complètement remplie par son pieu.

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Je me suis attardée sur son gland afin de le faire bander toujours plus fort. Dans ma main, sous l’effet de ma branlette, sa queue avait pris des proportions impressionnantes.

Je lui fis donc comprendre qu’il était temps de venir me bourrer le derrière : ” C’est maintenant Elban, il faut venir m’enculer."

J’avoue que c’est tout à fait volontairement que j’usais d’un langage aussi cru.
J’avais déjà constaté son effet aphrodisiaque chez bon nombre de mes partenaires et Elban ne dérogeait pas à cette règle.



Pour l’allumer encore plus, je pris chacune de mes fesses dans une main pour les écarter et lui ouvrir le petit chemin. 

Il posa alors son gland baveux sur ma rosette impatiente d’être perforée.



Je jetai alors mon bassin en arrière pour venir m’empaler sur son chibre, tout en prenant soin de pousser afin de faciliter la pénétration. Surpris, il se retrouva en moi sans avoir eu à forcer le passage.
Je me tortillai un peu pour bien le loger dans mes reins et lui faire la place nécessaire. Il en fit de même et nous nous sommes parfaitement ajustés, mes fesses emboîtées contre son bas-ventre et le haut de ses cuisses.

Il se mit à faire coulisser de plus en plus vite son gros engin dans mon trou. Mes boyaux, assouplis par les manipulations de ses doigts et déjà habitués à être dilatés se prêtaient admirablement aux mouvements de son pénis. Elban laissa aller une main vers ma poitrine et me tripota les seins tout en me sodomisant. En ce qui me concerne, j’avais glissé mes doigts vers mon bas ventre et je me caressais le bouton.

Quand mon camarade a fini par se libérer dans mon anus de la tension accumulée au fond de ses bourses, je n’ai pas pu m’empêcher de le suivre vers les sommets.

Après quelques secondes, il se retira et une rivière de foutre se mit à couler de mon trou béant.

Ce fut vraiment plaisant et Elban me le fit savoir en me donnant rendez-vous ce soir au même endroit.

D'ailleurs, il ne devrait pas tarder à arriver...