Cathy des Vosges

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Je m’appelle Sonia, j'habite à Mamers dans la Sarthe et j’ai déjà trente-deux ans. Je suis d’origine italienne et ça se remarque autant à mon accent qu’à ma longue chevelure brune ou à ma peau mate. Je suis grande, élancée et on me dit bien fichue. J’ai un beau cul bien ferme et une paire de seins que beaucoup de mes amies m’envient.
Je suis célibataire car je ne me vois pas liée à vie avec un homme. Je ne veux pas avoir d’enfants et je me trouve très bien ainsi, seule et disponible pour des aventures d’une nuit, d’une semaine ou d’un mois, mais rarement plus. Car il faut que je vous avoue mon pêché-mignon : j’aime le sexe par-dessus tout !




Je travaille depuis quatre ans dans un garage tenu par un autre italien d’origine. Il s’agit de Luigi, un bel homme de cinquante et un ans aux tempes grisonnantes. J’assure le secrétariat et l’accueil des clients.

Peu de temps après mon arrivée, tout le monde avait cerné ma véritable personnalité. Il faut dire que dans la petite ville que j’habite, les choses se savent vite. Mon patron a rapidement voulu en profiter mais, comme il n’est pas avare, il a décidé de partager avec les autres membres du personnel. J’ai accepté sa proposition.
A partir de là, toutes les pauses casse-croûte de dix heures ont été pour moi l’occasion de me faire mettre. Chaque jour de la semaine, j’appartiens pendant une demi-heure à un employé de l’entreprise, au patron ou à sa femme.




Le lundi, c’est le jour de Luigi, mon patron. C’est le seul qui a le droit de me prendre deux fois s’il le souhaite. Au début, il lui est même arrivé de jouir trois fois en moi. J’aime bien quand il me remplit avec sa bite longue et épaisse à la fois. Il a un gros nœud qui me fait du bien quand il bute contre le fond de mon vagin. Avec lui, je ressens toujours une forte impression de plénitude. Il aime aussi me fourrer sa queue dans la bouche pour que je la lui pompe longuement. J’ai parfois un peu de mal à la prendre entièrement entre mes lèvres. Mais, le temps aidant, je me suis habituée et je sais maintenant comment bien le faire juter, en lui caressant le gland avec ma langue.


Le mardi, c’est Rémi qui vient s’occuper de moi. Lui, je sais ce qu’il attend ! Alors je me prépare avant qu’il ne me rejoigne dans la salle de détente du personnel. Je me déshabille entièrement, ne gardant que les bas noirs qu’il affectionne particulièrement et que je ne porte que ce jour-là, uniquement pour lui. Je monte sur la méridienne qui se trouve dans la pièce et je me mets à quatre pattes. J’écarte les cuisses et je me passe la main entre les jambes. A ce stade, je ne sais pas toujours s’il est déjà là, à me regarder faire. Peu m’importe en réalité, je sais que je dois être prête quand il se décidera à m’enfiler. Alors, je me touche le sexe pour le faire couler. Avec mes doigts, je récupère le jus qui ne tarde pas à perler au bord de ma vulve. Je pousse mon bras en arrière et je vais barbouiller mon cul de cette mouille. Car ce que Rémi aime au-delà de tout, c’est m’enculer. Jamais il ne m’a demandé d’autres faveurs. Je crois que sa femme lui refuse ce genre d’intromission et qu’il peut seulement assouvir ses désirs entre mes fesses. Ca tourne à l’obsession chez lui mais ça ne me dérange pas. J’aime aussi jouir du cul. Quand il entre dans mon fondement, je ne peux me retenir de pousser un petit cri, mais bien vite, je trouve beaucoup de plaisir à me faire ramoner les boyaux. Aujourd’hui, je n’ai plus d’appréhension quand vient le mardi, car à force de me sodomiser Rémi a habitué mes chairs à se détendre.




Le lendemain, en milieu de semaine, je suis mise à la disposition de Marina, la patronne. C’est elle qui m’a initiée au plaisir entre femmes et, depuis, je suis devenue totalement bisexuelle. Sa lubie du moment, ce sont les jeux de langue. Au début, quand j’ai été embauchée, elle aimait plutôt jouer au petit mec et me remplir avec des godes, des vibros ou d’autres objets phalliques aux formes tarabiscotées. Ca lui arrive encore ponctuellement bien sûr, mais ces derniers temps, elle aime plutôt que je lui lèche la moule pendant qu’elle en fait de même entre mes jambes. Sa langue râpeuse et humide me fait du bien sur et dans la vulve. Elle n’hésite pas à me l’enfoncer bien au fond pour laper mes chairs intimes. Parfois, elle la fait entrer et sortir à toute vitesse de mon trou comme s’il s’agissait d’une petite bite bien dure. Mais ce que j’apprécie plus que le reste, c’est quand elle me tête le clito en l’aspirant avec ses lèvres. Je lui fais la même chose et nous jouissons beaucoup ensemble. Depuis quelques semaines, nous nous suçons aussi le cul. Ca me fait du bien car, parfois, mon petit anneau culier est encore endolori du traitement qu’il a subit la veille avec Rémi. La langue de Marina agit alors un peu comme un onguent qui me soulage. Bien sûr, je lui rends la politesse avec gourmandise en allant débusquer avec ma bouche le petit oeillet qui se cache entre ses grosses fesses mafflues.




Le jeudi c’est l’amateur de pipe qui m’utilise. Mattéo ne jouit que dans ma gorge. Je pense qu’ainsi il a moins l’impression de tromper son épouse. Il crois sans doute prendre moins le risque de sacrifier sa famille nombreuse sur l’autel de ses petits plaisirs. Invariablement, je dois m’agenouiller devant lui et attendre docilement qu’il vienne me remplir de sa grosse pine. Il se finit entre mes lèvres en quelques aller et retours qui n’ont rien de romantiques. Il ne veut même pas que je le touche avec mes mains. Je ne suis qu’un trou qui lui sert à vidanger ses couilles une fois par semaine. Je m’attache tout de même à bien faire ce pour quoi il m’utilise. Comme j’ai envie d’en finir rapidement, je le suce du mieux que je peux, insistant sur la partie la plus sensible de son gland baveux. Vous aurez compris que le jeudi n’est pas ma journée préférée pour ce qui concerne ma pause du matin.


Mais le vendredi, il en va tout autrement. Depuis son arrivée au garage, c’est Virginie qui a hérité du dernier jour de la semaine. Elle a tout de suite montré de bonnes dispositions. On m’a confié son éducation lesbienne mais je crois que Marina (la femme du patron) s’en charge également à l’occasion, notamment durant mes congés. Virginie n’est parmi nous que depuis trois mois mais, déjà, elle se laisse enfiler par mon double-gode. Je me mets l’engin autour des hanches et j’enfile un des bouts dans mon sexe. Puis, délicatement, je m’approche de celui de la jeune mécanicienne et j’y introduis doucement l’autre extrémité. Après, je commence à aller et venir dans son ventre en veillant bien à entrer complètement le manche. Ca me fait du bien à moi aussi et nous ne tardons guère à jouir ensemble. J’ai de la tendresse pour elle mais il me semble que je vais bientôt devoir aller plus loin. Je me prépare à la sodomiser l’un de ces prochains vendredi. Je crois qu’elle prendra aussi son pied avec un gode dans le cul.

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Par Cathy des Vosges - Publié dans : Sexes femmes - Communauté : blog sexe des amis
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