Ce baiseur de Lisieux dans le Calvados n’était peut-être pas très raffiné, mais en tous les cas, c'était un sacré queutard. Après s’être branlé entre mes seins, Didier avait mis quelques minutes à se remettre mais, sous l’action de mes doigts de fée, sa bite s’était vite réveillée.

Après m’avoir bien excité avec ses doigts vicieux, Didier est venu me fourrer sa tige dans l'anus. J’aimais bien aussi quand il me tripotait le trou avec son index et son majeur. Il était assez doué pour ça, surtout pour me frotter le clitoris qui était devenu très sensible sous ses caresses. Il faisait rouler la paume de sa main dessus à grande vitesse et ça m’échauffait profondément les sens. J’étais si avide de jouir à nouveau qu’on aurait pu croire que la soirée ne faisait que commencer. Quand il retira sa main qui me faisait tant de bien, un regret m’effleura l’esprit. Mais cela ne dura pas car, bien vite, il présenta son gros sexe à l’entrée de mon vagin humide. Son gland, que j’avais bien fait gonfler avec mes doigts, se posa entre mes grandes lèvres et il poussa pour le faire entrer d’un coup sec. Mon trou s’ouvrit pour le laisser passer et il fut rapidement comblé par l’engin. Le Lexovien s’activa aussitôt, faisant preuve d’une vitalité et d’une raideur inouïes pour un mec de plus de quarante ans qui venait de jouir quelques minutes auparavant.

Didier a joui le premier. J’ai subitement senti son pénis se contracter dans mon petit minou, l’espace d’une infime fraction de seconde. Tout de suite après, il s’est dilaté et à envoyé au fond de mon sexe une longue giclée de foutre. Bien sûr, ça a déclenché en moi une vague de plaisir encore plus forte que je n’ai pas pu retenir.

Juste après, j’ai glissé un doigt dans sa raie pour lui masser l’anus et la base des bourses. En même temps, je pris son sexe dans la bouche pour bien le sucer. Les quelques gouttes de sperme qui lui restaient dans la verge finirent dans le fond de ma gorge. J’avais la bouche pleine du manchede Didier. La boule de chair qui me remplissait les joues avait bon goût, presque sucré. Je me réjouissais de bientôt devoir avaler la sauce qui monterait des burnes bien pleines de mon amant. En effet, après quelques minutes de masturbation buccale, le pieux du Normand se dressait fièrement et laissait supposer qu'une nouvelle vague de semence allait m'inonder.

Je ne me trompais pas. Didier a craché sa sève dans ma bouche. Je l’ai avalée avec délectation, jusqu’à la dernière goutte qu’il a bien voulu me donner. Lorsqu'il referma les vannes, j'étais vraiment comblée. Celui-ci m’a fait nettoyer sa queue avec ma bouche et je me suis régalée à lécher son manche et son gros gland rougeaud.

Il n’a accepté de me laisser dormir qu’après m’avoir fait jouir une dernière fois. Je ne lui en veux pas car j’ai vraiment passé une nuit torride et je compte bien remettre ça avec lui à l’occasion d’une prochaine rencontre.