Une éducation religieuse, une virginité à laquelle elle était accrochée comme un bigorneau à un rocher : mais comment Dakoda Brookes est-elle devenue une cochonne ?

Les voies du porno sont parfois impénétrables.

La hardeuse balaie toutefois sa réputation de bégueule :
« J’adore tout ce qui est hardcore, être attachée, étranglée, griffée...

J’ai évidemment expérimenté ces pratiques davantage à l’écran que dans ma vie privée ».

De son éducation catholique rigide, Dakoda garde un penchant pour les bonnes manières.

Au fond, c’est le genre de fille qui apprécierait qu’on lui tende un mouchoir après une gâterie et qu’on donne dans le vouvoiement en plein ébat.

Mais, très vite, son côté écolière bien élevée reprend le dessus, vous rappelant que son pire souvenir reste ce jour où elle a dû embrasser à pleine bouche un acteur à l’haleine fétide. « Il sentait très mauvais de la bouche !C’était vraiment dégoûtant, mais je suis restée polie, je n’ai rien dit.

J’ai une phobie des microbes. Parfois, pendant les tournages, l’idée me traverse l’esprit.
Je me demande alors combien de microbes me contaminent ».
Tout cela n’est certes pas très excitant, mais, à sa décharge, Dakoda Brookes ne possède pas encore une grande maturité sexuelle : « Je n’ai de vie sexuelle que depuis janvier 2007. Je n’en sais pas tant que ça sur le X. Je n’avais vu qu’un seul film porno lorsque j’ai débuté. Et j’étais encore vierge il y a peu ».
Depuis, la minette a bien appris sur le tas. Elle témoigne même d’un bel entrain pour initier ses partenaires au saphisme.
« J’ai tourné avec Bianca Dagger sans parvenir à la faire jouir. Elle n’est pas très branchée par les filles. Après le tournage, je l’ai ramenée chez moi et collée dans mon lit. On a baisé comme des dingues. Et qu’est-ce qu’elle couine au lit ! »