Le dernier sous-vêtement féminin s'appelle le c-string.

C'est un indéniable succès commercial aux Etats-Unis, la dernière mode en matière de sous-vêtement.
Allons, allons, un peu de tolérance et d'ouverture d'esprit car j'entend déjà tous les "anti-américanistes" lever leurs boucliers et crier au loup,  en hurlant à tue-tête la bonne vieille rengaine patrioto-franchouillarde :  "bah, les Américains, qu'est ce qu'ils y connaissent à ça, ils n'ont décidemment aucun goût, etc, etc....".

Cela n'empêchera pas ces patriotes cocardiens d'aller chez MacDo chercher une carte de Uno ! Bref...

Qu'on aime ou qu'on n'aime pas, qu'on trouve cela pratique ou crétin, peut importe, cela est pûrement subjectif.

Non, mon propos est ailleurs. Il est dans une sorte de réflexion philosophique, mue par la vision de ce "c-string" ou string sans fil (sous-entendu sans ficelles horizontales et verticales). Dans sa finalité première, le c-string est sensé ôter toute trace d'élastique pour les porteurs de vêtements près du corps.