Loïc tenait Claudine par les hanches et tapait si fort contre ses fesses que la table s’était peu à peu déplacée pour aller se bloquer contre le mur. Il y avait un lampadaire juste devant la fenêtre et je pouvais bien observer toute la scène. Claudine criait toujours plus fort. C’était à se demander si elle savait s’exprimer autrement qu’en hurlant.
Au bout d’un moment, Loïc a sorti sa queue et il lui a demandé de se retourner pour grimper sur la table. C’était un beau gros phallus bien raide et mouillé au bout. Elle s’est exécutée et a ouvert ses cuisses sans qu’il ait besoin d’insister. Elle ne portait plus que son haut et une paire de basket sur de hautes chaussettes blanches. Rien de très féminin ! C’est malheureusement un trait caractéristique de toutes ces révolutionnaires en herbe. Il vaut mieux les mater à poil que sapées.
our le moment, elle se faisait soumise et implorait presque son amant de la prendre plus à fond. Le pauvre était pourtant déjà bien vigoureux et dynamique. Elle soulevait son cul en rythme avec les allers et retours de sa bite dans sa moule juteuse. Elle était comme secouée de spasmes.
- Ah, Loïc ! Ah, tu vas me faire jouir ! Ohhh, ça va venir, ça va venir… Ah, je me fourre la chatte, huummmm, hummm, branle-moi, branle-moi fort ! Tu sens, tu sens que ça vient ? Tu vas
jouir aussi, mon petit chéri ! Oui, oui, tu vas te vider les couilles sur ta salope de Claudine ! Viens, viens, inonde-moi, souille-moi avec ton bon jus ! Balance tout sur mon
ventre ! Je veux que tu craches ton foutre maintenant ! Ah, vas-y, vas-y…
Il n’a pas tardé à jouir sur la petite normande. Un puissant jet de foutre est parti s’écraser sur le pubis de la femme.
Le corps de Claudine était agité de soubresauts éloquents, elle sautait sur la table en gueulant qu’elle jouissait, qu’elle allait mourir de plaisir.
- Oh, je pars, je jouis ! Ouiiiiiiiiiii ! C’est bon, c’est trop bon ! Salopard ! Ca c’est du bon sirop ! Je suis contente d’en profiter, tu sais ? Il coule jusque sur mon sexe, tu as vu ?
Regarde, là, il y en a même sur ma fente, il coule sur mes doigts.