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Elle m’embrassa brièvement à pleine bouche avant de saisir ma queue qui commençait à se durcir. Elle avait à nouveau ce regard vicieux si particulier. Tout en me fixant, elle me branla par-dessus
le pantalon pendant que j’agrippais ses fesses d’une main et ouvrait sa veste de l’autre. Cette cochonne ne portait rien dessous. Je baissai la fermeture éclair à moitié, de quoi sortir ses deux
gros seins. Je les pris alors des deux mains, les léchai, glissant ma tête entre. Laura avait l’air très satisfaite et excitée de l’effet qu’elle produisait sur moi. Elle extirpa ma queue bien
durcie de mon pantalon et descendit. Elle passa autour avec ses seins, la prenant entre. Elle descendit et remonta lentement plusieurs fois en me regardant toujours de ses yeux indécents. Puis,
d’une bouche fort experte, elle attrapa ma queue, la suça. D’abord lentement puis comme une furie, me branlant avec son autre main, frottant mon gland contre ses joues comme si elle se brossait
les dents pendant que je la tenais par ses longs cheveux. D’un de ses longs doigts fins, elle me massait l’anus et finit par l’enfiler sur un ou deux centimètres.
Laura me pompait toujours ardemment le dard et si je m’étais laissé aller à ce moment-là, je lui aurais tout lâché au fond de la gorge. Je la tirai vers moi et la retournai fermement. Je lui
baissai le pantalon pour découvrir son cul. La vue de ces deux grosses sphères fermes accentua mon désir, il fallait que je me glisse entre. Je lui enfilai ma bite maintenant bien élargie dans
l’anus, elle n’attendait que ça. Elle remua pour me permettre d’entrer plus vite, et rarement j’eus autant de facilité à entrer dans un tel orifice. Je commençai à aller et venir avec force. Elle
se soumettait d’une manière exagérée mais diablement excitante, me demandant de la défoncer encore plus fort.
Elle se retourna, ouvra la bouche et me secoua juste devant jusqu’à ce que je lui envoie tout dans la gorge. Je la recouvrai de tout ce qui s’était accumulé durant ces longues semaines. Le
visage, la poitrine, il y en avait même un peu pour sa langue. Elle s’était penchée et tentait d’avaler certaines giclées.