Comme nous, les hommes adorent les petites gourmandises qui mettent en appétit.
Alors sachez aimer leur pénis autant qu’ils aiment notre clitoris.
Témoignages d’hommes sur la fellation
« la fellation, en qualité d’orgasme, c’est ce que je préfère. » « la fellation, je suis très content parce que ce n’est que pour moi. La fille est contente de le faire mais on
sent que c’est fait pour faire plaisir, pour donner du plaisir, et là j’existe à 600%, 1000%. » « les sensations physiques les plus marquantes que j’ai eu, c’était après les fellations.
Une impression de détonation dans la tête, pour moi c’est un orgasme qui est vraiment supérieur à l’orgasme de la pénétration vaginale."
Ah la fellation, une bonne pipe ! Si la plupart des hommes apprécient tant cette caresse, c’est parce qu’elle se focalise sur la zone érogène du pénis : le frein, juste en dessous du
gland.
Témoignages sur la fellation :
« je crois que pour une bonne fellation, il faut avoir envie de la faire. C’est d’abord en prenant son propre plaisir en la faisant que je pense qu’on peut donner du plaisir. Sinon, on va
vite rentrer dans quelque chose de mécanique et l’autre le ressentira forcément. Alors que quand on aime quelque chose, on va plus s’attarder, faire des petits coups de langue sur le frein, elle
va contourner les testicules, elle va passer sur l’aine, elle va remonter délicatement. »
Pour les amatrices, vous pouvez aussi vous attarder sur le corps spongieux du pénis de votre homme. Cette petite zone rebondie agréable à mordiller. Sans oublier de caresser ses testicules.
Enfin, il y a le point à 1 million de dollars, juste entre la verge et l’anus. Mais comment gérer la fin ?
Témoignages :
« ce qui arrive très rarement parce que ce n’est pas toujours le cas où les femmes apprécient, c’est d’ éjaculer pendant la fellation dans la bouche de la femme, parce qu’il y en a qui
aiment, d’autres qui n’aiment pas, mais quand ça arrive, c’est quand-même très agréable… » « je crois que je n’ai jamais rien connu de meilleur qu’une fellation faite jusqu’au bout,
mais c’est super rare… »