Mon soupçon s’envole quand soudainement le lourd mécanisme de verrouillage glisse, laissant la porte de la cellule s’ouvrir.Le gros flic s’est déjà approché, sa grosse main a pris mes joue et il vient déposer un baiser baveux sur ma bouche.

— « Ma proposition tient toujours ma belle, une petite demi-heure avec mon collègue et on te ramène à ta voiture ».

Il a glissé son autre grosse main entre mes cuisses et caresse mon vagin, avec ses gros doigts. Le contact est électrique, malgré ma répulsion je suis assaillie par un torrent de désirs primaires.

— « Alors ma jolie, tu te décides, c’est oui ou c’est non ? »

Il a accentué sa caresse entre mes cuisses. Dans un murmure inaudible je me soumets docilement en fermant les yeux. En moins de temps qu’il n’en faut, le deuxième flic est là, son pantalon réglementaire sur les genoux. Il prend place devant moi et me présente une grande verge noueuse. Le gros flic m’a passé les menottes et je me retrouve suspendue à une barre de fer au milieu de la cellule. Ses mains agiles se sont débarrassées des bretelles de ma nuisette.

— « Des seins de reve hummm, tu restes un sacré beau petit lot »

Le gros flic m’a fait mettre à genoux sur le banc en faisant glisser les menottes le long du mur, cambrée les reins en arrière pour bien mâter mon intimité avant de la violer. Il fait glisser ma nuisette et siffle entre ses dents.

— « Cette grande salope a vraiment un petit cul et des goûts d’enfer ».

Le jeune ne donne pas sa part aux chiens, et entreprend de me baiser la bouche. Je ne le suce pas avec envie, alors il donne de grand va-et-vient entre mes lèvres, cela semble le ravir et il échange des railleries avec son vieux collègue.

— « Oui, mais elle ne coopère pas complètement chef, il faut la stimuler ».

L’autre pervers et expérimenté m’a vite jugé, c’est son gros pouce qui vient perforer mon petit trou.

— « Avec une paire de fesses comme cela, et m’occuper de ses reins ».

J’entends son pantalon tomber sur ses chaussures, ses grosses mains agrippent mes fesses et il me force tout d’un coup.

— « Viens par-là gredine »

J’ai la rage au cœur car malgré les alertes de mon cerveau, c’est mon corps qui commande et ma chatte commence à s’humidifier, de nouveau le plus jeune, les mains libres, actionne les perles dans mes chairs. Le gros lime sans retenu mon petit anneau dilaté par le plaisir. Je me maudis car je commence à aimer cette situation, mes sens sont en éveil et je commence à couiner entre leurs mains. Lentement le plaisir monte dans mon ventre. Même leurs mots crus attisent mon plaisir, chose que je déteste habituellement quand je fais l’amour. Le ventre du gros adjudant vient épouser la cambrure outrancière de mes reins à chaque va-et-vient. Je ne fais pas l’amour, je baise. Je suis ramonée une bonne demi-heure par ce couple de gendarme qui tour à tour prennent place dans ma bouche et entre mes reins. Au moment ou le plus vieux enfourne de ses gros doigts je hurle et explose en le mordant à l’épaule. Il me reprend par les cheveux, me cambre en avant, me soumet et explose sur mon visage.

— « C’est ma tournée de mousse », rires gras.

Sa grosse langue rappeuse vient me nettoyer pendant que son compère s’abandonne, à grand jet de sperme tiède entre mes fesses et sur mon sexe offert.Mes deux amants en uniforme ont tenu parole, à peine une heure après mon entrée dans la petite cellule, je suis au volant de ma voiture.

Là, épuisée par cette demi-nuit de débauche je gare la voiture sur le bas côté. Relevant ma nuisette, je contemple le spectacle entre mes cuisses. Je ne peux m’empêcher de penser que j’ai vraiment aimé cela.
Je ne sais plus résister au sexe et à mes pulsions.