Ca m’est arrivé la première fois quand j’ai vu Antoine, notre jeune coursier décharger des colis d’un camion avec l’aide d’un livreur à peine plus âgé que lui et plutôt beau garçon. J’étais dans
mon bureau avec très peu de travail et je les ai regardés faire, tranquillement assise derrière ma vitre. Au bout d’un moment, je me suis levée et je suis allée dehors, comme pour prendre l’air.
En fait, une fois sur place, je me suis approchée de mon collègue et je lui ai soufflé quelques mots à l’oreille. Je me suis alors dirigée vers le local technique où se trouve son petit entrepôt
à côté du garage où il range sa voiture. Les deux hommes m’ont aussitôt emboîté le pas et nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le bâtiment, au milieu des cartons. J’ai refermé la porte
derrière eux et je me suis placée au centre de la pièce. Là, j’ai commencé à me déshabiller sous leurs yeux ébahis avant de me mettre à genoux devant eux et d’ouvrir leurs braguettes pour en
extraire leurs sexes pas encore tout à fait durs.
Je les ai sucés l’un après l’autre. Pendant que j’en prenais un dans ma bouche, le titillant avec mes lèvres et du bout de la langue, je branlais son voisin d’un geste décidé. Leurs deux verges
se trouvaient juste à quelques centimètres l’une de l’autre. Quand j’en ai eu assez, je suis allé m’allonger dans un coin de la petite pièce en écartant les jambes en grand. J’ai dit à Antoine de
venir me fourrer la vulve avec son bel engin et au livreur de revenir dans ma bouche. Pendant que mon collègue s’introduisait en moi et commençait à me limer la fente, je suçais son copain en
caressant ses couilles pleines et velues. Je n’étais plus vraiment moi-même. Ils ont joui chacun dans les trous qu’ils occupaient. J’ai pris le sperme de l’homme dans ma gorge et je l’ai avalé.
Ensuite, ils m’ont regardée me finir avec mes doigts, à même le sol. Puis, ils ont interverti leurs places et m’ont à nouveau pistonné la chatte et la bouche. Cette fois-ci, Antoine a juté sur
mon visage et son pote sur mon ventre. Au moment où je jouissais moi aussi, ma petite collègue de l’accueil ouvrit la porte de mon bureau et me tira de mes rêveries. J’avais la main coincée entre
les cuisses et les doigts tout trempés. Mes joues étaient en feu, presque autant que mon cul.