Là, je me suis accroupie devant lui et j’ai ouvert la braguette de son pantalon. Vous savez maintenant comme je suis gourmande et combien j’aime sucer les gros kikis que je croise sur
ma route. Celle de Richard était courte mais épaisse. Je l’ai d’abord léchée un peu avec la pointe de ma langue, pour la réchauffer et goûter le suc qui n’a pas tardé à s’en écouler. Ca m’a tout
de suite donné des frissons.
Richard était adossé contre un arbre et se laissait faire. Il devait être content d’avoir trouvé une cochonne telle que moi pour lui pomper le dard. Pour lui, c’était inespéré. Il accompagnait les mouvements de ma bouche sur son sexe en me tenant toujours la tête. Parfois, il lançait également son bassin en avant, comme si la tension devenait trop forte dans son bas-ventre. Je bougeais peu sur sa pine. Je la gardais au chaud, baignant dans ma salive entre mes lèvres gourmandes. J’insistais surtout sur son bout que je lapais avec ma langue. Mon petit organe devenait de plus en plus agile au fil du temps et des fellations. J’observais ses réactions lorsque je le léchais avec la pointe de mon muscle. Je savais maintenant combien il était agréable à mes amants de sentir ma langue sur l’extrême pointe de leur nœud, là où le trou à pisse est très sensible. Je mettais en pratique sur Richard les enseignements que j’avais tirés de mes observations et cela avait l’air de tout à fait le satisfaire.