Alors que je caressais déjà depuis un petit moment le torse de Christophe, je laissai descendre mes doigts vers son sexe. Je notai avec satisfaction qu’il écarta les jambes quand je cherchai à
m’aventurer vers son intimité la plus secrète. Il savait que Caroline n’avait rien à voir là-dedans et paraissait d’accord pour m’accueillir au sein du couple qu’il formait avec la jeune fille.
Connaissant tout ce que Caro avait pu me raconter sur lui, cela ne m’étonnait guère au demeurant.
J’avais sorti sa queue de son pantalon et je le branlais littéralement tandis qu’il s’était attaqué à la petite chatte de mon amie. Mais j’avais une autre idée en tête, que je mis en
pratique sans tarder. Je jugeai en effet que Caro était suffisamment chaude pour ne plus être en mesure de refuser ma contribution. Depuis le jour où elle m’avait conté ses exploits avec l’ami de
son père, l’envie m’avait pris de la toucher et de profiter moi aussi de ses charmes. C’était venu quand elle m’avait expliqué que, plus jeune, une camarade de classe lui avait léché le minou. Je
mourrai d’envie d’y mettre la langue à mon tour. C’était ce soir ou jamais. Tout en continuant de masturber le pieu de Christophe, je me suis laissée glisser au sol et j’ai tendu le bras vers la
petite motte de Caroline. Elle n’a pas réagi quand je lui ai touché la vulve mais quand j’ai fait entrer un doigt dans son trou en même temps que ceux de son amant qui s’y trouvaient déjà,
elle pencha la tête vers moi, l’air surpris. C’était l’heure de vérité ! A mon grand soulagement, elle se contenta de me décocher un sourire puis se passa la langue sur les lèvres, comme pour
m’encourager à aller plus loin. J’ai tiré sur la pine de notre amant et je l’ai guidée vers le vagin de Caro d’où nous avions au préalable sorti nos doigts. J’ai tout de même continué à lui
téter le bourgeon quelques secondes après que l’engin fut entré en elle mais comme Christophe se faisait de plus en plus virulent, j’ai dû me retirer sous la pression de ses coups de reins. Je
pris la direction des opérations en invitant ma jeune amie à s’allonger sur son lit tandis que son mec la pistonnait violemment. Quand elle fut couchée, je quittai ma minijupe et mon slip pour
venir m’installer sur son visage et lui offrir ma chatte à sucer. Elle m’a fait jouir sous l’action de ses lèvres et de sa langue. En dessous de moi, Caroline avait tendu les bras pour se saisir de
mes seins tout en continuant de me téter admirablement le minou, entrant alternativement sa langue dans ma caverne ou la plaquant sur mon clitoris bandé pour le masser. J’étais aux anges ! Cette
cochonne se risqua même à me titiller le creux des fesses et à me lutiner la rondelle pour me donner encore plus de bonheur.
Notre amant s’est vidé dans le ventre de sa maîtresse et j’ai joui peu après lui, à peine précédée par la jeune fille. Nous n’avons pas mis longtemps à reprendre nos esprits. Il flottait dans la
chambre un parfum de stupre et de luxure autant que de foutre
Par Cathy des Vosges
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Publié dans : Triolisme
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