- "Viens Roland, viens vite me saillir ! Viens bourrer le cul de ta jument ! Je suis en chaleur, c’est le moment de me foutre ta queue bien au fond du ventre."
Là, je me surpasse. Il ne va pas pouvoir se retenir. D’ailleurs, il n’en a certainement pas envie. J’écarte bien les cuisses, appuyant mes genoux contre les manchettes du fauteuil. Je relève
encore un peu mon cul et m’accroche au dossier en prévision des coups de boutoir qui vont me défoncer la chatte. J’entends Roland qui s’approche. Il est muet, comme à son habitude. Ils ne me
parle presque jamais, même quand je le provoque, comme aujourd’hui.
Au bout de quelques secondes, j’entends le fauteuil qui grince et s’affaisse sous mes genoux. Roland a grimpé derrière moi. Ses mains me saisissent par la taille, fermement. Il me tire un peu en
arrière. Au passage, son gland baveux frotte contre ma cuisse. Avec sa main, il le guide tout contre ma vulve. Ça y est, il appuie contre ma fente. Je me recule pour venir m’empaler sur son
manche. Son nœud écartèle mes chairs au passage, mais je m’ouvre sans difficulté. Il est maintenant bien logé tout au fond de mon trou. Je peux commencer à me dandiner pour prendre mon plaisir.
- "Oui, tu remplis bien ta jument, Roland. Montre-lui que tu es un bon étalon, bien dressé et docile ! Lime-la bien comme il faut, longtemps et bien fort."
Au début, Roland va doucement, comme pour bien s’installer et prendre ses aises. Il fait lentement coulisser son gros mandrin dans ma chatte. De temps en temps, il m’assène un coup plus violent et le bout de son sexe vient buter tout au fond de moi. Dans ce moment-là, j’ai du mal à retenir un cri. Il s’est penché sur moi et s’est emparé de mes seins qui pendent sous mon torse. Il me tire sur les mamelles et fait rouler les pointes entre ses doigts sans douceur. Je sens la rage contenue qu’il a en lui. Maintenant, j’en veux plus. Il faut qu’il accélère le mouvement, qu’il me bourre plus violemment, qu’il me pilonne la vulve sans ménagement. Je dois le provoquer :
- "Oh, tu t’endors Roland! On dirait un vieux canasson impuissant. Réveille-toi et commence à me limer. Je veux te sentir coulisser entre mes cuisses. Je veux que tu tapes plus fort en moi.
Vas-y, vas-y, oui, comme ça ! C’est mieux ! "
Mes paroles semblent avoir réveillé l’instinct du mâle en lui. Il active le mouvement. Son bassin vient buter contre mes fesses de plus en plus rapidement. Il me tire toujours sur les seins.
J’accompagne son mouvement, me balançant d’avant en arrière sans pudeur et sans retenue. Il ne me faut pas plus de quelques minutes de ce traitement avant que je ne m’effondre sur le dossier du
fauteuil. Roland lâche à grands jets sa semence de vainqueur dans mon ventre.