Je vous présente le minou et les seins de Mathilde. N'est-ce pas merveilleux?
Drôle de rêve :
Les mamelons dressés réclamaient mille et un baisers. Ils ne tardèrent pas à être honorés par les savants coups de langue de la coquine , qui me procurèrent beaucoup de plaisir. Plaisir qui
accéléra la production de sève juteuse de ma petite chatte.
Laissant de côté ma poitrine, Mathilde "la belle de Metz" se dirigea vers mon mont de Vénus qui n’en pouvait plus tant il attendait qu’on s’occupe de lui. Elle glissa un doigt puis
deux dans ma fente maintenant largement ouverte. Elle fouillait au fond de moi. Tout mon corps avait chaud. Elle accéléra le mouvement. Je me cambrais. Je gémissai de tout mon saoul. J’en voulais
plus !
Mes jambes s’écartaient toutes seules.
- "Encore, encore Mathilde!"
Un 3ème doigt vint participer à la fête. Mais celui-là c’est à mon clitoris qu’il s’en prenait. Il le cherchait, oui ! Le malaxait, le caressait, hmmmmm ! il lui faisait du bien. Non,
c’est à moi que ça faisait du bien ! D’un seul coup elle arrêta tout. Je la regardais, les yeux tout rond. Non, encore ! semblaient-ils dire.
Mathilde ouvrit un tiroir et en sorti un somptueux phallus en plastique. Soulagée, je lui adressais un grand sourire de satisfaction. Elle enfonça ce membre en moi et le fit bouger avec délicatesse puis de plus en plus vite, de plus en plus loin. Mes lèvres s’ouvraient toujours plus. Je hurlais ma satisfaction. Je jouissais et la regardais, elle, cette belle fille de l'Est qui me faisait du bien. Ma liqueur inondait la couche. J’étais au paroxysme du bonheur.
Elle s’arrêta à nouveau et me regarda en passant sa langue sur ses lèvres. J’imaginais que ses lèvres étaient les miennes. Celles qui sont entre mes cuisses et qui, à ce moment, dégoulinaient de délice. Elle sourit et me dit :
- “La prochaine fois je goûterai ton fruit”.
Elle est très belle.