Drôle de rêve Gay :
Je m'installais différemment et commençais à lubrifier mes doigts de salive; quand j'entrai mon index, je sentis une contraction suivie d'un relâchement, mon doigt très en douceur s'enfonçait
jusqu'à sa base. Je commençais à travailler l'intérieur savamment, en m'appliquant bien, je voyais devant moi ses couilles grosses, sans mentir, comme deux abricots, Marc était ravi. Je le
retournais allongé sur le dos et je repliais entièrement ses jambes sur ses épaules; comme il était gymnaste, aucun problème pour lui. J'avais ses fesses ouvertes au max et son anus déjà pas mal
ouvert. Je le massai et celui s'ouvrit d'un petit trou comme une pièce de 5 centimes. Je me passai la capote et je me connectai à lui. Dans des gestes pesés et ajustés, je m'enfonçais quasiment
sans force.
Je ressentis la chaleur de son cul envelopper ma queue, dans cette position j'aurais pu mourir que je m'en serais fichu. Je limais avec délicatesse en prenant soin de bien aller au fond et bien ramener jusqu'au gland, tout ça dans des mouvements très amples et jouissifs. Après dix minutes de ce lent va-et-vient, je le positionnais sur le côté et je recommençais à l'enculer avec beaucoup de force. Il était parfaitement dilaté, ça entrait tout seul, sans forcer. Les bords étaient largement ouverts, je le sentais vibrer de l'intérieur, sa queue était gonflée mais pas raide. Mes coups de reins imprimaient de sacrées secousses à son corps. Au bout d'un moment, je limais très vite dans son cul, vraiment très vite. Je sentis monter en moi une jouissance inconnue qui me paralysa le temps de l'éjaculation: j'avais l'impression d'uriner mon sperme en lui, ça sortait largement de la capote et dégoulinait sur nos duvets. Je m'écroulais juste après comme une masse sur lui.
Très heureux, il me dit qu'il n'avait jamais été enculé de cette façon et qu'il avait éjaculé aussi, presque en même temps que moi. Je passais la main sur son sexe, il était couvert de sperme aussi mais vraiment la grosse tache de sperme. On se coucha l'un dans l'autre, je retirais ma capote et me passai un coup de serviette avant de m'endormir.