Soudain, François sort de son bureau et laisse tomber exprès une feuille, pour que je la ramasse et la déplie. Il a écrit le mot : toilettes sur la feuille et j’y vais, sans plus tarder.
Je croise mon boss dans le couloir et il me dit bonjour sans se douter que je m’achemine aux toilettes pour m’éclater avec l’un de ses subalternes. Cette situation m’excite énormément et je ne peux m’empêcher de mouiller, avant même d’y arriver.
La porte des toilettes est entrouverte et en y entrant, je la ferme pour que personne ne nous interrompe.
«François? Tu es là?»
«Oui tais-toi Cathy, as-tu fermé la porte?»
«Oui, où es-tu?»
A ces mots, le cochon sort de l’une des cabines individuelles et m'attrappe par la taille.
Je me trémousse dans tous les sens et, de temps en temps, fait demi-tour et me penche en avant pour le laisser mater ma foune à l’air, car j'ai enlevé ma culotte. A
chaque fois que je lui montre ma chatte, je devine son envie de me prendre sur le champ. Mon cœur bat à cent à l’heure et j’ai l’impression que je ne pourrais pas revenir au bureau sans
avoir une bonne culbute dans tous les sens, aux toilettes.
Ensuite, je lèche mes doigts et les suce pour augmenter encore plus sa gaule. Il ne m’a jamais lèché mais j’imagine qu’il doit être un expert. Je suis hors de moi et, le
prenant dans mes bras par derrière, je commence à lui donner de petits bisous sur le cou et sur les épaules. Mes seins ont durci à cause de l’excitation et je pince mes tétons raides.
Je continue à le caresser, ma main descend sur sa bite. Quel bonheur! Elle est grosse et raide. Il fait demi-tour et, m’agenouillant devant lui, je commence à le sucer aux toilettes sans plus de manières. Ma bouche fait des miracles et pompe sa bite comme je ne l’aurais jamais cru. Allant et venant comme une vraie dingue, je bave et fonce si rapidement qu’on dirait que je suis folle de sexe.
- «mmm petite salope, vas-y suce mon dard» me dit il.
J'astique le gland sans même m’arrêter pour reprendre haleine, et fait des gorges si profondes que j’ai failli le faire jouir dans ma bouche à plusieurs reprises.
- «Ahhhh plus fort, Cathy ouiiiiiiiiiii»
Je suce François aux toilettes comme prise d’un accès de folie, avec des mouvements très appuyés et je risque de le faire venir d’un moment à l’autre. Il me prévient
que je dois ralentir mais je n'écoute pas.
Des rafales de sperme chaud arrivent dans ma bouche. Et, pour ne pas le décevoir je me laisse aller au milieu d’un orgasme fou et très jouissif.
Puis, hyper chaude, je commence à me branler, sans lâcher la bite de François (que je continue à sucer assise sur les toilettes) jusqu’à ce que je jouisse très bruyamment…