Mes fesses en disent long. Aimeriez vous y venir?
Drôle de rêve :
Debout derrière moi, Christine empoigna mon visage de sa main libre et le maintint devant la bite que je n’avais pas vu venir. De son doigt, elle ouvrit ma bouche laissant s’y glisser le
sexe de Bernard. Je dus sucer le vit frémissant et dur, je l’enrobais de ma langue, le suçotais, mes lèvres se refermaient sur le membre en un mouvement de succion irrésistible… Il gémissait
de plus en plus fort et s’agitait d’autant en distendant les muscles de ma mâchoire. Mon cul et ma chatte mouillaient toujours plus sous les coups de boutoirs de ma belle et j’allais mourir
de joie !
- Oui. Je t'aime Christine... oui... je t'aime ma belle!
Tout vint en même temps : Bernard se branlait de plus en plus fort dans ma bouche et Christine me défonçait allègrement la mouliche en me traitant de petite pute ! Comme elle y allait ! Sa main en moi me fouillait très fort et l’autre faisait entrer et sortir le plug dans mon cul au même rythme que par devant… J’allais jouir ! Là, sous la lune, le cul au vent attachée comme l’esclave que je voulais être.
Bernard se vida dans ma gorge, me forçant à l’avaler… Me laissant encore sa flascitude en bouche et c’est là que j’explosai ! Je pissais ma cyprine sur la main de mon aimée, l’anus contracté dans le plaisir, le plug expulsé..
Je fus longue à me reprendre tellement la jouissance fut forte. Une fois détachée, je me sentis bien et affamée.. Je me suis rafraîchie dans l’un des bassins.
Je sentais mes muqueuses gonflées et l’eau fraîche me faisait du bien. Je dus remettre les boules de geisha au fond de moi… J’avais l’impression qu’elles allaient tomber tant j’étais béante mais
mon amante ne me laissait pas le choix...
Je ne revis plus Bernard, la grille était ouverte. Lui invisible…
Nous sommes allées dîner dans un petit restaurant d'Alençon en Normandie. A la fin du repas, elle engagea le serveur à me sodomiser. Puisque j’avais été ouverte, il fallait bien en profiter… Bien sûr, il accepta.