Plus belle la vie : Jeu lesbien pour Céline au bar "Le Mistral"

Après avoir glissé mes mains sous sa jupe moulante, je l’ai embrassée dans le cou. C’était très pratique : Céline avait un chignon. Je lui ai léché les oreilles également puis je suis revenu vers son visage et sa bouche tandis qu’elle s’accrochait à mes épaules.

Après avoir repoussé la porte de la cuisine du restaurant et désireux de voir ses seins de plus près, je lui ai ôté son t-shirt pour mieux pouvoir m’occuper de sa poitrine. Céline avait un mignon petit soutien-gorge rose que j’ai ôté en deux temps trois mouvements. Je me suis jetée sur les seins de la belle blonde de Marseille avec gourmandise et les ai engloutis tour à tour dans ma bouche.

Décidée à faire travailler ma langue sur ce joli corps, je suis descendue au niveau du nombril que j’ai inondé de salive, puis j’ai baissé sa jupe et sa culotte en dentelle noire. Céline a écarté légèrement les jambes et ma langue à pu atteindre son clitoris.Je l’ai prise par la taille pour améliorer le contact et lui ai fait écarter davantage les jambes pour descendre également vers son vagin.

Le plan de travail de la cuisine du "Mistral" se trouvait à proximité. Après avoir plongé ses mains dans mes cheveux, la fille Fremont a un peu reculé et s’est allongée dessus. Je lui ai complètement enlevé ses vêtements et j’ai pu la lécher à grands coups de langue. Tantôt je la lui enfilais le plus profondément possible, tantôt je faisais des mouvements variés sur son clitoris. Soudain, elle s’est recroquevillée sur elle-même et poussant un immense soupire.

Céline tenait en équilibre sur ses pieds et contre moi. Elle avait pris des risques, la chipie ! Je pouvais à présent lui mordiller à loisir le bas du cou et peloter ses charmants seins bien fermes.

Je lui caressais tout le corps : les cuisses, le cul, les seins, le ventre…  Elle s’est relevée et a pris ses vêtements pour se rhabiller. Elle m’a dit en souriant qu’à présent, elle devait vraiment partir car elle avait rendez-vous avec Vincent sur un chantier.  Elle m’a fait un clin d’œil et est partie.