Avez vous rêvé d'un beau Kiki? Moi oui. Je vous présente celui de Refilou
Drôle de rêve :
... Des idées bizarres me traversaient l’esprit tandis qu’il me parlait. J’étais là, à côté de lui, assise sur son lit. Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai posé ma main sur sa jambe, à
l’intérieur de sa cuisse. Mes doigts ont effleuré la bosse que faisait son pantalon. Je me suis mise à lui masser l’entrejambe. Il m’a regardée un moment, puis, voyant que je continuais à le
caresser à travers son froc, il s’est redressé sur son lit. Il s’est approché de moi et a commencé à déboutonner mon chemisier. En un rien de temps, je me suis retrouvée en soutien-gorge. Je
portais de la lingerie et des bas noirs.
Refilou a fait jaillir mes seins en glissant les bonnets du soutif sous ma poitrine. J’ai déjà les tétons qui bandent. Il se jette dessus et
les prend dans ses lèvres. Il me suce les bouts. Je sens mon sexe qui s’entrouvre et la mouille qui afflue au bord de mon trou. Je ne suis plus moi-même et le pire c’est que je n’ai même pas
honte. Refilou me mange les nichons. J’ouvre le bouton de son pantalon et je tire sur sa fermeture Eclair. La protubérance qui remplit son slip m’impressionne. J’y porte la main. C’est
chaud et ferme. J’extrais son membre du sous-vêtement dont il se débarrasse prestement et qui va atterrir au pied du lit. Déjà, je me retrouve avec son phallus dressé entre mes doigts. Je le
branle une ou deux fois mais il me fait comprendre que c’est ma bouche qu’il veut sentir autour de son gland. Dans un éclair de lucidité, je me fais l’effet d’une traînée mais je ne peux
pas résister et j’embouche le nœud écarlate. Je passe la langue dessus et il gémît de plaisir sous mes caresses impudiques de femme indigne. Je le pompe ainsi pendant quelques instants
qui me semblent durer une éternité. Je suis maintenant complètement trempée. Ma chatte baigne dans mon jus, ma culotte est détrempée. Refilou me grimpe dessus. Il place son bassin entre mes
cuisses et pointe le bout de son chibre sur ma fente qu’il vient de si bien préparer. Son gland pousse sur mes lèvres de chatte et je comprends qu’il entre en moi. Quel bonheur ! A ce moment-là,
je me trouve tellement chienne ! Il se met à me limer de plus en plus vite. Mes jambes sont ouvertes à 180 degrés et je me tiens tant bien que mal à sa taille pendant qu’il me bourre comme
une bête. Sa queue me lime de fond en comble. Le bout de l’engin bute contre ma matrice et m’arrache des cris de plaisir à chaque nouvelle butée....