Drôle de rêve :
...Elle replonge aussi sec entre mes cuisses et colle à nouveau sa bouche contre mon sexe. En fait, on dirait deux bouches qui s’embrassent. Je bouge le cul pour me frotter la vulve contre son
visage.
Je ne tiens plus en place. Lentement,
je pivote à mon tour pour venir me placer tête-bêche avec elle. Nous sommes toutes les deux couchées sur le côté, le visage enfouit dans l’entrejambe de notre partenaire. Je renifle les effluves
suaves de la chatte de ma cousine. Au moment de poser ma bouche sur son trou, j’ai un bref moment d’hésitation, mais je veux aussi lui faire du bien, lui donner le même plaisir interdit qu’elle
me procure en me léchant entre les cuisses. Elle sent que je suis là et pousse son bassin en avant, faisant tomber les dernières barrières qui m’empêchaient encore de lui bouffer la vulve. Je me
jette à corps perdu dans ce broute-minou, ce soixante-neuf. Je me serre contre Sylvie, mes seins pèsent sur son ventre.
J’ai toujours une main qui passe derrière elle. Je lui caresse la raie des fesses et, de temps en temps, j’entre deux doigts dans son vagin. Je les ressors aussi
vite, bien humides et lubrifiés. Avec son jus, je tartine son sillon culier, je beurre son anus. A chaque fois que je passe dessus, je remarque qu’elle frémit. C’est son point faible, son
péché-mignon. Je dois en profiter. Si je sais m’y prendre, je l’aurais à ma merci.
- Oh Cathy...
Sa langue se fait inquisitrice en fouillant à l’intérieur de mon jeune sexe. Elle me ramone le trou avec la pointe, mordille mes lèvres de chatte avec ses lèvres de bouche ou avec ses dents,
doucement. J’aime comme elle me lèche les muqueuses, buvant tout le jus qui abonde à la porte de mon con. Quand elle sort sa langue, c’est pour mieux y mettre ses doigts, un index et un majeur
réunis qui me pistonnent tant qu’ils peuvent. Sylvie ne se contente pas de les faire coulisser, elle me dilate l’orifice vaginal, le distend au maximum, comme si elle le préparait pour je ne
sais quelle intromission scabreuse...